Débauches nouvelles
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vas nettoyer mon short bien dégueulasse avec ta langue, puis ma culotte souillée et enfin ma chatte. Je vais me retourner à chaque fois afin que tout soit bien astiqué de tous les côtés ! » Je m’exécute avec application, devant, derrière. D’abord son short bien crade, il est vrai, mais il me plait et j’aimerai en porter un comme ça. Puis sa culotte bien trempée de mouille et de pisse. Puis son sexe, sa fente, son cul. Je lèche, suce, relèche, introduis ma langue dans les plis et replis les plus intimes. C’est bon et dégueulasse à la fois mais ça lui plait. A moi aussi. Je deviens gouine, je gouinasse. Broute. Et mouille comme jamais. Laetitia est satisfaite par ma prestation. Je suis un peu épuisée. Ces contacts intimes avec une chatte bien huileuse m’ont très émue. Suis-je devenue gouine moi qui aime tant les bites ? Je savais que je plaisais aux femmes, je ne savais pas encore que j’aimais les femmes. Après un temps de repos, Laeti m’ordonne d’enfiler son short bien dégueu et de quitter ma mini en cuir qu’elle enfile. Elle est super bandante, mouillante, veux-je dire. Après une petite collation restauratrice elle m’annonce la venue d’une surprise pour moi. Je suis prête à tous les excès. On sonne à sa porte. Un type, pas mon genre, entre. Elle me le présente. Un vieux salopard de toute évidence avec qui je vais devoir « m’amuser ». On fait rapide connaissance, Laeti se retire (elle assistera en voyeuse à nos ébats). Ce type est gros, vieux, vulgaire d’apparence et de ...
... propos. On fait connaissance rapide : mains au cul, bouches et langues enlacées, il a de grosses balloches (j’adore), il bande bien raide (j’aime). Je mouille fort (il apprécie). Il me traite de salope (je ne déteste pas). On se tripote. J’apprécie sa belle grosse bite et ses énormes couilles bien pleines (je n’ai rien contre, c’est même la seule chose qui me plaise chez ce gros cochon). Il me dit des mots vulgaires, me traite de pouffiasse (ce que je suis ou du moins ce que j’ai envie d’être). J’en viens à lui sucer sa grosse queue (il apprécie, moi aussi). Il m’encule enfin (ce que j’aime). Je lui intime l’ordre de faire ma toilette et nous recommençons ce que j’avais fait avec Laeti. Il aime ça, me bouffe littéralement passe sa langue dans tous mes plis, fentes et trous. Laeti est très satisfaite de moi : « tu es une vraie pouffe, une bonne élève mais tu dois encore faire des progrès ». Nous reprenons un petit temps de repos. « Maintenant nous allons sortir ». Je suis obligée de garder son short bien crade, bien mouillé, souillé de traces de pisse, de foutre malgré le ménage consciencieux de l’autre saligaud. Je suis aux ordres. J’ai envie de tout ce qu’elle veut. Je lui dis que j’ai envie d’une belle chatte. « Pas de problème, tu vas en avoir ma belle salope, mais tu auras d’abord encore une grosse bite». Je suis gênée d’être en cette tenue, elle a mis ma mini en cuir. Nous sommes comme deux gouinasses bien salopes. Cela ne me déplait pas mais je n’ai pas l’habitude de ces ...