1. L'invitation


    Datte: 13/06/2020, Catégories: fff, hotel, caférestau, toilettes, fdomine, noculotte, Masturbation intermast, Oral jeu, init, Lesbienne

    ... tellement aguicheur, se livre à un lent strip-tease torride, faisant glisser en même temps son jeans et un minuscule string le long de ses jambes. — Et voilà ! dit-elle. Et maintenant, la suite ! ajoute-t-elle en enlevant prestement son tee-shirt. Elle est nue, magnifique, provocante, exhibant son corps parfait, son soutien-gorge ayant rejoint le string sur le bord du lavabo. — Tu es lente, Jeanne. Qu’attends-tu pour enlever tout ça ?— Tout ça quoi ?— Ça par exemple ! dit-elle, tout en faisant glisser les bretelles de la robe. À l’initiative d’Estelle, en un éclair, la robe, plutôt ample, a glissé aux pieds de Jeanne. Immédiatement, sa culotte l’a rejointe. Pour seul rempart, il lui reste son soutien-gorge. Contre toute attente, elle n’a pas protesté. Dans son regard il n’y a ni gêne ni peur mais, au contraire, l’expression d’une excitation croissante et envahissante. Estelle, s’attendant à des cris et à une résistance, est stupéfaite. Et, encouragée par cette passivité, sur un ton directif, elle lui demande de se retourner – ce qu’elle fait sans rechigner – et dégrafe la dernière pièce de dentelle blanche la couvrant. — Comme ça, nous sommes semblables. Non ?— Oui… murmure Jeanne, abasourdie.— Hum ! Tu as de très jolies fesses, complimente-t-elle en les effleurant du bout des doigts. Jeanne est incapable de répondre. Elle est honteuse mais son envie de poursuivre ce jeu pervers est le plus fort. — Regarde-moi… Comment me trouves-tu ? Je te plais ? demande Estelle tout en ...
    ... la faisant se retourner et la regardant droit dans les yeux.— Tu… Oui… Tu es belle… ânonne-t-elle, troublée. Ce contact est fulgurant mais, aussitôt, la raison s’en mêle et lui fait dire : — Arrête Estelle ! Arrête s’il te plaît.— Tu le veux vraiment ?— Oui, je t’en supplie. Nous allons trop loin.— Bien… Si tu y tiens ! Cette réponse soulage Jeanne un instant et l’angoisse juste après. Le nœud, les fourmillements et la chaleur dans son bas-ventre lui révèlent la conséquence ce renoncement : il la prive de ce dont elle a terriblement envie. Attentive et déchaînée, Estelle choisit ce moment pour poser sa main sur la toison de Jeanne et glisser un doigt inquisiteur entre ses lèvres pour, moins d’une minute plus tard, l’abandonner définitivement en lui disant : — Pourtant, tu mouilles ma belle ! Tu en meurs d’envie ! Tu ne sais pas ce que tu perds… Mais tant pis pour toi… Allez, enfile ta robe, on nous attend ! Pour Jeanne, une nouvelle étape est franchie. La sensation de cette main, de ce doigt sur son sexe a provoqué une décharge quasi-électrique, comme un début d’orgasme. Elle aurait tant voulu être caressée, se sentir partir et jouir mais, au lieu de cela, faisant fi de ce désir, l’audacieuse Estelle l’a négligée, préférant enfiler son jeans sans même la regarder. Jeanne reste prostrée, frustrée et blessée par ce geste pervers. — Allez… Dépêche-toi ! sermonne Estelle. Elles vont se demander ce que l’on fait… Ou, plutôt, elles vont s’imaginer des choses… Obéissante, Jeanne ...
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