L'oubli (2)
Datte: 13/06/2020,
Catégories:
Hétéro
Pour ce faire, Nathalie se lève et je découvre alors une élégante robe cache-cœur grise à manches courtes, fermée par une ceinture de tissu nouée. Celle-ci marque la taille de Nathalie, entre un buste assez étroit et des hanches plus prononcées. La robe se fait ainsi fluide sur le haut et plus moulante sur le bas, dessinant avantageusement à mon avis, son postérieur charnu et rebondi. Nathalie plie son manteau sur le banc avant de s’y rasseoir. La robe de Nathalie fermant de mon côté, je me rends compte que j’ai une vue plongeante sur son décolleté. Alors qu’elle fait un geste du bras droit, la fente s’ouvre alors. Je ne l’écoute plus. Plus du tout. Ce n’est pas la taille de son sein, qui me parait tout à fait respectable, mais ce qui l’entoure. Cette étoffe noire, je la connais. Sacrément bien même. Un soutien-gorge au design très particulier, transparent car en fine résille, avec un petit nœud entre les seins. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute, c’est bien le même modèle si sexy que j’ai offert le mois passé à Camille, la jeune stagiaire qui m’avait réconcilié avec le sexe après plusieurs années de disette auprès de mon ex-femme. A 18 ans, les tenues de Camille reflétaient l’ambivalence de son caractère : des robes sages, des tailleurs discrets, une apparence soignée, et des dessous torrides, sexy, parfois vulgaires, comme il lui arrivait d’être quand nous baisions. Je lui avais offert l’ensemble complet : soutien-gorge, string, porte-jarretelles et guêpière. — Florent ! ...
... Florent ! Vous êtes encore là ? Gêné, je souris et m’excuse. Je reprends mes esprits tandis que Nathalie éclate de rire. Je dois avoir une tête bizarre. Ma voisine se redresse alors sur le banc, décroise sa jambe gauche et passe sa jambe droite sur l’autre. Soudain, le pan droit glisse sur la cuisse de Nathalie et dévoile une large jarretière en dentelle. Ce que j’aime les robes cache-cœur… La dame porte des Dim’Up. Mon cœur repart de plus belle, tandis que Nathalie devient écarlate : — Oh ! Je… je suis vraiment désolée ! Elle rabat vivement le pan de sa robe par dessus sa cuisse. Nathalie ne feint pas : elle est vraiment confuse d’avoir dévoilé le haut de ses bas à mon regard et je suis désormais certain qu’elle ne m’a pas montré son sein droit volontairement. Enhardi, je me lance : — Vous n’avez pas à vous excuser, Nathalie. L’élégance de votre tenue n’a d’égale que votre beauté. Vous êtes ravissante et cela, jusque le choix judicieux de vos bas. Je touche. Et pas qu’un peu. Nathalie semble complètement déstabilisée par mes compliments que je trouve pourtant fort naïfs. Elle ne répond pas tout de suite, sourit, se mord la lèvre inférieure puis dit : — Vos mots me touchent sincèrement, Florent. Si vous saviez… Je… Sa phrase reste en suspens quelques instants avant qu’elle n’ajoute simplement : — Merci… — Nathalie, j’aimerais vous inviter à souper ce soir… — Je… je ne peux malheureusement pas rester. — Quand revenez-vous ? — Ce n’est pas prévu. Je me rapproche de la brune. ...