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D'aspirant à salope (7)
Datte: 13/06/2020, Catégories: Transexuels
... ses pieds dessus. Je vois d’adjudant qui installe une chaise de chaque côté de moi. Je suis sur la pointe des pieds car dans la position où je me trouve, mes pieds ne peuvent pas être à plat. — Reste sur tes coudes, j’adore te voir comme ça Le capitaine reprend sa progression vers le haut de ma cuisse, mais je les rejoins pour arrêter sa main. — Non, non, écarte les cuisses ma belle J’obéis autant parce que je n’ai pas le choix qu’autant que j’ai envie de sentir sa main sur moi. — Il faut lui redonner à boire mon capitaine j’ai encore soif Maintenant il rate délibérément ma bouche et fait couler le verre sur mon menton. Ils s’occupent à nouveau de mes tétons avec plus d’énergie et je ne peux retenir une plainte de douleur. Je regarde la main arriver en haut de la cuisse, l’endroit que j’ai découvert comme étant très sensible. Je ne retiens pas ma tête. Elle tombe en arrière dans un râle. — Hummm — Mais elle aime on dirait — Regarde son clito il est tout dur Mes quelques centimètres ont durci dans le collant et ma bite s’est collée à mon ventre. La main passe sur mes bourses et s’arrête sur mon sexe. Elle le cache complètement. — Jean-Paul resserre lui à boire On me verse encore le contenu du verre sur le menton et deux bouches s’occupent de ma poitrine collante de GET 27. Le battoir du capitaine à plat sur ma verge fait des vas et viens. Je m’abandonne et je sens le plaisir monter très vite. Je gémis. C’est trop bon. — Tu aimes ma salope ? — Hum ouiiiii — Oui qui ? — Oui mon ...
... capitaine Et tout s’arrête. Ils se redressent en même temps abandonnant mon corps. — Mets-la debout L’adjudant m’attrape comme une plume et me met sur mes jambes. La capitaine s’approche me relève le menton pour plonger son regard dans le mien. — Voilà ta vraie nature. Tu es faite pour prendre et donner du plaisir au mec. On arrête là. Le jour où tu seras décidé à devenir ma salope tu n’auras qu’à venir me le dire. Ils quittent la salle de restaurant me laissant plus perdus que je ne l’étais déjà. Je me rhabille et retourne dans ma chambre. L’air froid de dehors me réveille. Je rentre dans ma chambre et passe sous la douche avec collant pour retirer le GET 27 collé sur moi. Mon sexe est toujours bandé et je mets les doigts dessus. Je ferme les yeux et repense à ce qui vient de se passer. En deux mouvements je jouis en hurlant. L’eau a dû atténuer le bruit. Je me couche nu, demain j’aurais la gueule de bois. Tout le reste de la semaine, il n’y a eu aucune allusion ou remarque du capitaine. L’adjudant m’ignore complètement comme s’il ne s’était rien passé. Tous les soirs je porte la lingerie et je regarde les films ou les BD, et tous les soirs je suis excité et je m’identifie aux femmes que je voie. Je finis immanquablement par me faire jouir avec les souvenirs de la soirée au mess. C’est le premier week-end où je peux rentrer sur Bordeaux. Je fais ma valise, je laisse dans ma chambre tous mes cadeaux et je rejoins la gare. La seule chose que je prends c’est le roman histoire ...