1. Une vendeuse attentionnée


    Datte: 13/06/2020, Catégories: f, ff, inconnu, magasin, essayage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, double, fdanus, piquepince, ecriv_f,

    ... hachette devait être assez unique dans son genre. L’orgasme ne tarda pas, mais j’avais encore envie de me donner du plaisir et cette fois j’avais envie de sentir quelque chose dans mon cul. Je m’allongeais à même le sol, et levant les jambes en les plaçant sur un établi je me doigtais le cul, léchant même mes doigts, tapotant les pinces sur mes seins. Je n’avais jamais envisagé la douleur lors d’un rapport, même lorsqu’un de mes amants me liait les poignets, cela restait très soft. Je découvrais une nouvelle facette de ma sexualité et j’avais l’impression que les barrières tombaient les unes après les autres. Saisissant une nouvelle pince à linge, un peu usée, je la plaçais sur mon clitoris gonflé. Je n’ai pas pu éviter un petit cri de douleur mais là encore la sensation de chaleur intense qui s’est instantanément dégagée m’a convaincue de laisser la pince en place. Il ne me restait plus qu’à trouver un outil adapté à mon anus. Mais rien ne convenait, tout était trop gros ou trop sale. Je suis donc retournée à l’intérieur. En cours de route j’avais perdu la pince qui me pressait le clito, je me suis arrêtée, baissée et je l’ai ramassée puis remise en place en écartant les jambes. C’est alors que j’ai remarqué que j’étais couverte de sciure, je m’étais roulée par terre et même mes cheveux étaient parsemés de copeaux de bois, mais qu’importe, je n’avais qu’une idée, m’occuper de mon cul en feu. Je ne trouvais même pas une petite carotte pour me satisfaire et me dis que ...
    ... j’achèterai les légumes en conséquence. Je me finis donc avec deux doigts dans le cul en titillant mes pinces à linge. Chavirée par un orgasme incroyable je m’assoupissais à même le tapis. En faisant un mouvement une des pinces s’est enlevée de mon téton et la douleur m’a réveillée aussi efficacement qu’un seau d’eau froide. Je retirai les deux autres pinces en massant doucement les zones meurtries. La violence de cet orgasme était impressionnante et je me disais qu’un godemiché me serait peut-être utile à l’avenir. Mais en réfléchissant bien, ce qui m’excitait le plus c’était de détourner l’usage premier des ustensiles que je m’enfonçais dans la chatte, et je me promettais de trouver ce qu’il fallait lors de mon passage au centre commercial du coin. Mon portable sonna, c’était Anne, elle venait de prendre le train à Paris et serait là pour 15h30. Elle me trouva une voix bizarre, — Ça va ? Tu as une drôle de voix— Oui, je suis un peu naze, je viens de me réveiller… Mais dis-moi tu as pensé à ma trousse de toilette ?— Oui, je l’ai cherchée en allant à la gare. On se retrouve sur le quai ?— Oui, à tout de suite ! Et je raccrochai, filai prendre une douche et commençais dans ma tête ma liste de courses un peu spéciale… Je ne savais pas trop quoi mettre et je me retrouvais dans la même robe qu’hier mais sans string, elle était assez longue pour que je reste discrète (à moins de faire du vélo). Je chaussais mes sandales à lacets et sautais prestement dans la voiture. Arrivée dans un ...