Le mariage de ma meilleure amie
Datte: 14/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
alliance,
copains,
lunettes,
train,
avion,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... par endroits. Quand j’arrive dans la salle de bain, le bain est arrêté et elle y est entrée. — Alors, on a du mal à me rattraper ?— Te marre pas : j’ai même essayé de me déguiser en géant vert, lui dis-je en lui montrant les traces sur mon corps.— T’inquiète pas, mon p’tit bonhomme, je vais m’occuper de toi ! Allez, viens ! Elle se relève tout en me tendant la main. L’eau et la mousse ruissellent sur son corps, glissant de son cou, entre ses seins, sur son ventre, s’arrêtant quelques secondes sur sa courte toison et poursuivant leur course le long de ses jambes. Un pied, puis l’autre, et me voilà dans le bain. Mathilde prend une éponge et, après y avoir versé du gel douche, elle me savonne tout le corps, comme une mère attentionnée pour son enfant. Contre ma volonté, mon sexe commence à reprendre un peu de vigueur. — Chaque chose en son temps, petit polisson ! me lance-t-elle d’un sourire coquin. Mon corps entièrement savonné, elle saisit la pomme de douche et me rince, après avoir réglé l’eau à une température tiède chaude. J’en ressors tout propre. — Allez, allonge-toi ! me dit-elle. Je ne me le fais pas dire deux fois. Je m’allonge dans l’eau, passant mes jambes entre les siennes. Doucement, elle se retourne, me présentant son dos, et vient s’allonger sur moi. Mon sexe trouve sa place dans le sillon de ses fesses, tandis que mes mains retrouvent la douceur de sa poitrine. D’abord massant doucement ses seins, caressant les tétons et pinçant légèrement les petites ...
... pointes perçant sous la mousse… Ses mains ne restent pas inactives : elles ont glissé toutes les deux entre ses cuisses, l’une me caressant pour me redonner un peu plus de vigueur, l’autre dans son intimité. Sous sa main experte, je retrouve toute ma virilité. Virilité qu’elle amène sur les douces lèvres de son sexe. Puis, avec de communs mouvements du bassin, on entreprend un va-et-vient, un peu limité par les parois de la baignoire et par les risques d’inondations de la salle de bains. Au bout d’un moment, avec quelques petites difficultés, on se relève. Mathilde écarte un peu les jambes et prend appui sur le mur. J’écarte doucement ses fesses et m’enfonce en elle, avant de me retirer, puis de m’enfoncer à nouveau, dans un rythme crescendo. Hélas, notre stabilité étant plutôt fragile, je la quitte à regret pour m’allonger à nouveau au fond de la baignoire, tandis que Mathilde se place au-dessus de moi, avant de s’agenouiller, tout en s’empalant sur mon sexe dressé. À son tour, elle donne le rythme à nos ébats, tantôt fougueux, tantôt ralentis, avant qu’on n’en vienne à exploser ensemble dans un hurlement commun de plaisir. Ma bite, toujours entre ses lèvres, perd peu à peu de sa vigueur. Mon amante s’allonge sur moi. Je dois avouer que j’aime le contact de sa douce poitrine nue contre la mienne… — Je crois qu’on s’est surpassé, me dit-elle dans un murmure.— Tu as raison : on ne pouvait rêver d’une meilleure fin pour notre relation amante.— Mais, tout n’est pas fini : il y aura ...