1. Partagée au cinéma


    Datte: 14/06/2020, Catégories: fhhh, jeunes, couple, couplus, extracon, extraoffre, inconnu, cinéma, toilettes, intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    J’étais alors étudiant en première année d’architecture, dans une école où se mélangeaient les jeunes architectes, et les graphistes de pub… Dans cette prestigieuse école parisienne se trouvaient des jeunes de tous les pays. Et en particulier une sublime américaine, aussi stupide que belle. Tous les copains (archis comme graphistes) fantasmaient sur elle, tant parce que son physique était proprement hallucinant, que par l’insondable bêtise dont elle faisait preuve… Vous me direz, c’est tellement facile de se moquer de la "blonde stupide"… Oui, mais là, c’était on ne peut plus réel. De mon groupe d’archi, j’étais le seul à maîtriser l’anglais, grâce à un passage de trois ans dans un collège anglais, et du fait, j’étais le seul à pouvoir "m’occuper" d’elle, lui faire découvrir Paris, les sorties, les cafés, enfin, les mille et un attraits de la ville… Le schéma classique, quoi… La drague de base, on se promène, on se frôle, on se serre l’un contre l’autre, tout ça plein de romantisme à deux balles, et puis, le soir venu, le dîner, le pot, le dernier pot chez moi, la drague qui s’alourdit, le premier baiser, et la bonne partie de cul. Et là, surprise, Mary se révéla super chaude, obsédée, pleine de fantasmes qu’elle me décrivait pour nous exciter encore plus (comme si j’en avais besoin !)… Et puis, une certaine tendresse, en amour le cerveau sert peut, finalement. Le lendemain, une certaine jalousie se voyait sur les visages des copains, surtout parce que Mary se collait à ...
    ... moi, avec l’idée précise de vivre avec moi, et que je n’étais donc pas "un coup d’un soir"… J’étais fier, vous pouvez me croire. Et puis, on emménagea ensemble dans un petit studio non loin de l’école, bien parti pour une vie de couple comme on en rêve. Le seul point qui me dérangeait, c’était ces fameux fantasmes qu’elle décrivait si bien lors de nos ébats. Je ne peux pas dire que ça ne m’excitait pas, non, mais quand elle commençait à décrire des scènes avec d’autres mecs, qui la prenaient par tous les trous, devant moi, me demandant si j’en avais envie… Ben… Euh… pas trop, non. Et puis, après l’amour, elle ne revenait jamais sur ces idées, un peu comme si cela ne devait faire partie que de notre intimité… Mais dans ma tête, finalement, je finissais par la voir en rêve, prise par deux ou trois mecs, inondée de sperme chaud, un filet coulant de ses lèvres superbes, ses seins magnifiques tachés de foutre, sa chatte blonde étroite complètement distendue par le passage de toutes ces queues… Bref, je finissais pas en avoir envie… pour de vrai. Un soir, on était assez chaud, et tout en marchant dans la rue, on commençait à parler de ce fantasme, moitié en rigolant, moitié l’air coquin, histoire de voir si l’autre suit. Finalement, elle me dit qu’elle voudrait bien essayer maintenant. — Tout de suite ? Dans la rue ? lui demandais-je.— Oh, no ! Pas dans le rue ! Si toute le monde nous voit, ils vont appeler le police, no ?— Bon, pas dans la rue… Mais alors ? Chez nous ?— No !!! ...
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