1. Le patron de mon mari, version 2, partie 1


    Datte: 15/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... voir plus tôt.. - Oui, ben tu aurais pu décliner l’invitation de Romain, y a un fast-food à moins de 200m de ton magasin… - Figure toi que je l’ai fait mais il a été plus qu’insistant, me disant que tu faisais de la blanquette et que quand tu faisais ce genre de plats, tu en faisais toujours un peu plus au cas où. Dis toi que je suis ce au cas où, me lance-t-il avec un regard charmeur. - Tu m’agaces. Il s’approche de moi et place sa main sur ma joue avant d’approcher ses lèvres des miennes. Je tente de le repousser, mais il se fait insistant. - Thomas, arrête, j’ai pas changé d’avis depuis l’autre jour… lui dis-je en poussant sur son torse. - Moi non plus… Ce sont les bruits de pas dans l’escalier qui le stoppent. Il attrape des verres dans le meuble derrière lui et retourne s’asseoir. - Thomas tu aurais du laisser, j’aurais mis la table en descendant. En tout cas merci. - C’est moi qui vous remercie tous les deux de m’accepter à votre table. Les garçons ont l’air de se régaler. Quant à moi, je n’ai plus très faim. La présence de cet homme sous mon toit me tape sur les nerfs. Vivement la fin du mois que toute cette histoire se termine. Le lundi suivant, je reçois un bouquet de fleurs au travail. Je n’ai même pas besoin de regarder la carte qui l’accompagne pour savoir de qu’il vient. Je signe le reçu du livreur et m’apprête à jeter le bouquet tel quel dans la poubelle, mais il m’en empêche. - On m’a demandé de m’assurer que vous ouvriez l’enveloppe qui est glissée dans les ...
    ... fleurs... De mauvaise grâce, je le fais. ‘’ Coucou ma jolie, Je sais que tu as repris le boulot et donc le rythme effréné qui va avec… je me suis dis que te faire chouchouter par une esthéticienne de ferait du bien. Tu as donc rendez vous mercredi après midi, à l’institut qui se trouve au bout de la rue où tu bosses. Profite ! Et n’oublie que je saurais si tu n’y vas pas. C’est la journée de repos de Romain et je sais que tu ne travailles pas le mercredi. Tu n’as qu’à prétexter aller boire un café chez une collègue. Je t’embrasse. ‘’ Vous pouvez y aller, je l’ai lue. Il repart sans un mot. Je e vais à nouveau devoir mentir à Romain. Je commence à saturer. ‘’ je n’ai pas besoin de me détendre, je sors de congé…’’ ‘’ on a toujours besoin de se détendre. Je t’aurais bien fais ce massage moi-même, mais tu refuses que je t’embrasse, alors je n’imagine pas si j’essaie de poser les mains sur toi…’’ ‘’ ne t’avises même pas d’essayer un jour…’’ ‘’je suis sûr que tu penseras le contraire un jour…’’ ‘’ l’espoir fait vivre…’’ Quelques jours plus tard, en rentrant du travail, j’aperçois l’Audi RS de Thomas tourner au coin de la rue. Arrivée devant la porte d’entrée, je trouve un paquet sur le pas de la porte. Je le ramasse et ouvre la porte. Je pose Rosi dans son parc, mon sac sur le meuble à chaussures. J’enlève mes sandales et m’installe sur le canapé avec le paquet. Il a innové : pour remplacer la carte habituelle, il a écrit directement sur la boîte. ‘’ Pour remplacer celles qui ont pas ...
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