1. Incestueuse - Journal à quatre mains


    Datte: 03/10/2017, Catégories: f, fh, fplusag, extracon, alliance, revede, Masturbation pénétratio, confession, occasion, extraconj,

    Il fait une chaleur étouffante, je suis nue sous un drap léger, je ne trouve pas le sommeil. Dans ma tête tourne et retourne l’image de Mat (Mathieu est son prénom, mais tout le monde l‘appelle Mat). Mat est le jeune frère d‘Alexandre, mon copain depuis trois ans. Ce soir, après le repas, avant le coucher, un événement troublant s’est produit dans la vaste demeure campagnarde rénovée. J’ai résisté à une folle tentation, je m’en félicite mais j’en suis plus chavirée que prévu. Dans la moiteur de cette nuit d’été, mes deux mains sont posées sur mes tétons durcis par l’émotion, puis ma droite lentement descend vers mon estomac pour calmer une sorte de creux étrange sans rapport avec la faim, avant de glisser sur les poils de mon pubis. Mes ongles jouent avec les bouclettes brunes de ma toison, en grattent les racines, aspirés plus bas, encore plus bas. Alexandre, au secours. Alexandre pourquoi a-t-il fallu que tu partes si loin pour trois jours et trois nuits ? Si tu étais là, tout serait si simple. Il y a huit jours les parents d’Alexandre sont partis en bord de mer, nous confiant les clés de la maison. Alexandre, après une période de chômage éprouvante, a retrouvé un emploi. Le chômage est une épreuve terrible pour un jeune diplômé. À la fin de plusieurs cdd, se retrouver sans travail, sans perspective d’avenir fait douter de soi dans tous les domaines. Y compris au lit. Dans les moments de déprime, faire l’amour peut être une occupation, mais le doute crée de l’angoisse et ...
    ... l’anxiété tue l’envie et le plaisir. Alexandre s’est mis à me poser très souvent la question du jeune homme peu sûr de lui. — Ça va, je n’ai pas été trop mauvais ? Tu as quand même joui ? Heureuse… J’en souffrais pour lui et plus que lui, au point d’éviter de le tenter trop souvent dans un premier temps ; avant de constater que mes précautions et l’absence de désir manifesté par moi le rendaient moins confiant et plus malheureux encore. J’avais connu avant lui, trois compagnons dont un avait partagé ma vie pendant près d’un an. Le plus gentil et le plus tendre, c’est indéniablement mon Alexandre. Hélas c’est un homme un peu fragile dans notre monde de brutes, trop impressionnable ou vulnérable au travail mais également par répercussion dans sa vie familiale et amoureuse. — Tu vois, toi aussi tu doutes de moi et de mes capacités. Le retour à l’emploi lui a donné un sacré coup de fouet. Pendant une ou deux semaines, quand il rentrait à la maison nous filions au lit et, comme deux morts de faim, nous passions nos temps libres serrés l’un contre l’autre, amoureux unis par la confiance retrouvée, et nous avons revu en entier le catalogue des positions sexuelles selon les danois ou les orientaux les plus libérés. À sexes débridés, heureux de donner et de prendre, inventifs, assoiffés, insatiables, nous nous aimions de tout notre cœur et nous copulions comme des sauvages. Ah ! La belle époque. Hélas, la période d’adaptation trop courte a été suivie d’une boulimie nouvelle. Alexandre ...
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