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Mamie Geneviève (2)
Datte: 16/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... depuis toujours. Pour ma part, j’avais oublié ce plaisir depuis longtemps. Enhardi, le coquin glisse sa main sur mon chemisier et effleure ma poitrine. Chacun de ses passages mettent en évidence mes réactions aux zones les plus sensibles et c’est à ces endroits là qu’il insiste. C’est si bon que j’ai besoin de reprendre ma respiration et que j’interromps notre baiser. Il en profite pour défaire les boutons de mon chemisier avant de l’ouvrir. Il est pressé de reprendre ses caresses, et moi aussi ! Après quelques délicats frôlements, il dégage mes tétons de mon soutien-gorge. Il darde sa langue avant de les picorer. Cette sensation est délicieuse et inutile de dire que mon corps apprécie. Mes seins sont durs et mon intimité très humide. Il me caresse le ventre doucement et entreprend de me téter. Pas suçoter, téter comme le ferait un bébé. Alors là, je sens la chaleur monter en moi et prend appui pour respirer. Ma main s’est posée sur sa cuisse et mon petit doigt est en contact avec la dureté de son membre. Mes doigts frémissent une fraction de seconde pour les retirer, mais mon envie de le toucher est plus forte. J’y vais franchement pour me saisir de son engin et ce que je pétris est plus conséquent que ce que j’avais entraperçu. Il a une main entre mes jambes, que j’écarte volontairement pour le laisser atteindre son but. Ses doigts qui glissent sur mes bas me font frémir. J’en oublierai presque de m’occuper de ce membre si raide. Dès que j’entame mon mouvement, il ...
... m’interrompt et me fais comprendre qu’il ne pourra pas se retenir très longtemps si je continue. Moi j’ai envie de le déshabiller et, en peu de temps, il est nu comme un vers. Je suis impressionnée par ses proportions qui n’ont rien à voir avec celles de, feu, mon mari. Je me sens prise de folie, je quitte ma culotte et m’allonge sur le canapé cuisses ouvertes. J’ai le feu ! Je le veux en moi, vite ! J’écarte bien les genoux et il ne résiste pas à l’invitation. Il se couche sur moi et après l’avoir guidé du bout des doigts il pénètre mon intimité. Si la progression est lente, et , intérieurement je le félicite de son attention, je me sens quand même distendue, emplie d’un sexe dur. La sensation est délicieuse, j’en veux plus ! Je lui appuie sur les fesses en disant « Viens mon chéri, viens vite » Soucieux de me satisfaire, il s’enfonce d’un coup sec et je ne peux m’empêcher d’échapper un cri. Il entame ses mouvements de bassin et je commence à me pâmer, toute cette vigueur qui me perfore me porte aux nues. « Plus vite mon chéri, plus vite ! » jbzzhp Il s’y met avec toute la fougue de sa jeunesse, et, malgré la douleur de ses coups trop profonds. Mon orgasme arrive, je le sens monter terriblement et je ne peux réprimer mes soupirs, puis mes cris quand il se déclenche. Lui, ne résiste pas longtemps à ma jouissance et se cambre pour propulser en moi sa semence. Nos corps en sueur restent collés un long moment et c’est à regret que je le sens sortir de moi. Quel plaisir intense je viens ...