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Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 16/06/2020, Catégories: fh, hplusag, rousseurs, extracon, oncletante, plage, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, fdanus, fsodo, confession,
... fugace et le contentement remplaça la brève grimace. Je continuai mes assauts en accélérant le rythme, pour le plus grand plaisir apparent de ma jeune cousine. Le couple en vis-à-vis avait calqué sa cadence sur la nôtre et, comme dans une course où les chevaux de tête se challengent en allongeant le pas, nous accélérions de conserve nos pénétrations. Le feulement intermittent de Rachel était maintenant continu et le tempo des « oh » et des « oui » ne fut interrompu que par un cri : « oui maintenant ! » Je plongeai une dernière fois mon sexe au fond plus profond de son ventre et mes testicules vinrent s’écraser contre ses fesses. Enfin je lâchai toute ma vigueur contenue jusqu’au fond de ses entrailles tièdes. Son ventre fut pris de spasmes alors que mon homologue, retirant son sexe comme un glaive du fourreau, laissa jaillir un arc de sperme nacré qui s’écrasa sur le dos de son compagnon. La vue de l’expulsion violente de cette liqueur sembla mettre un point d’orgue à notre jouissance commune. Rachel venait de laisser tomber sa tête sur ses bras repliés et laissait son ventre finir d’exprimer par de longues et profondes contractions le don tiède que je lui faisais. Nous restâmes de longues minutes collés l’un à l’autre, épuisés de jouissance, rincés de plaisir. Le soleil caressait encore nos peaux moites de sueur lorsque nos deux invités s’éloignèrent après avoir murmuré un merci accompagné d’un geste amical et complice de la main. Lentement, je me suis extrait de la gaine ...
... tiède dans laquelle mon sexe reprenait des proportions apaisées. Allongé sur le dos, j’attirai Rachel qui vînt en rampant se blottir contre moi. Avec la douceur apaisée des amants épuisés, elle caressait mon torse alors que je soufflai sur son front pour y sécher la sueur qui perlait afin d’y apporter un semblant de fraîcheur. Je crois que nous avons dû dormir quelques minutes. L’appel de nos noms nous réveilla en sursaut. Un rapide baiser échangé sur nos lèvres desséchées par le soleil et la violence du plaisir, et nous nous glissions dans nos maillots de bain après avoir remis un semblant d’ordre dans nos coiffures. En émergeant des touffes d’oyats qui avaient abrité notre inattendu intermède amoureux, nous vîmes à une petite centaine des mètres les enfants courant devant leur père en tendant à bout de bras ce qui semblait être le fruit d’une pêche miraculeuse. Rachel se mit à courir à leur rencontre et je la suivis à quelques pas. — Nous vous cherchons depuis une demi-heure ! lança Henri, l’air un peu réprobateur.— Nous nous sommes égarés dans les dédales des dunes en rentrant.— Ce n’était pas une raison pour courir, regarde dans quel état tu es ! Et puis ce n’est pas très gentil d’entraîner mon cousin dans tes folies. Regarde, il a l’air épuisé. J’esquissai un sourire et une moue de dénégation. — Non, ce n’est rien. C’était vraiment une ballade très agréable, même si on s’est un peu perdus. C’est le signe qu’il faut que je me remette au sport.— Allez ! On rentre, nous ...