1. Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...


    Datte: 16/06/2020, Catégories: fh, hplusag, rousseurs, extracon, oncletante, plage, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, fdanus, fsodo, confession,

    ... je m’avançai un peu en basculant le torse en avant. Ce mouvement eu pour effet de déplacer la tête de ma jeune cousine qu’elle tourna résolument au point que ses lèvres se trouvèrent au contact du sexe. Je ne voyais plus son visage mais je sentais son souffle tiède à travers le tissu. Ses lèvres picorèrent de furtifs baisers et la pointe de sa langue pris le relais en suivant la longueur de ma chair. Je compris, au mouvement que la paume de Rachel imprimait à ma main, qu’il me fallait maintenant me mettre au diapason. De toute façon, l’irréparable était accompli. Les dernières résistances était battues et nous étions entre adultes consentants malgré la différence d’âge qu’accentuait les traits et le visage juvéniles de cette jeune cousine. Sous mes doigts je sentais la poitrine durcir doucement. Caressant l’aréole à peine marquée mais maintenant plus foncée, je pris entre mes doigts un mamelon. Rachel laissa échapper un petit grognement de satisfaction et son corps fut comme traversé par une invisible décharge électrique. Son ventre se creusa, ses reins se soulevèrent et restèrent un instant tendu en arc de cercle. J’accentuais la pression de mes caresses alternativement sur l’un et l’autre petit bouton qui roulait sous mes doigts. Rachel eût un deuxième léger soubresaut que j’interprétai comme un signe de son contentement. Ses doigts glissèrent sous l’élastique de mon boxer puis tirèrent le tissu vers le bas libérant définitivement mon sexe qui claqua sur mon ventre. Sous ...
    ... l’excitation, elle en engloutit le gland en marmonnant des propos incompréhensibles. Tout à mon plaisir, je sentais sa langue suivre le frein et remonter jusqu’au méat qu’elle caressait doucement. Sa bouche accompagnait les caresses en aspirant doucement puis en descendant le long de la tige. Rachel frémissait et il m’était maintenant difficile de retenir les mouvements qui agitaient mon bassin. Avec surprise, car je n’avais imaginé que notre jeune cousine si gaie et si pétillante puisse maîtriser avec autant d’habilité de l’art des caresses buccales, je sentais le fourreau de ses lèvres monter et descendre le long de mon sexe et sa main se saisir de mes bourses qu’elle faisait rouler entre ses doigts. Toujours sans un mot, mais il lui était difficile de parler eu égard au soin avec lequel elle savourait sa caresse, son autre main saisit la mienne et la descendit sous le tissu de son maillot. Généralement habitué à maîtriser les rapports avec mes partenaires, je m’abandonnai cette fois avec un certain délice. Le caractère inattendu de l’événement et le lien familial, même par alliance, qui nous unissait, freinait intellectuellement mes ardeurs, mais visiblement pas mon corps. Je me laissai guider jusqu’au contact des premiers poils de son pubis, puis prolongeai l’initiative de cette partenaire inespérée. Après avoir joué quelques instants avec la petite touffe de poils soyeux qui ornait le léger renflement, je continuai avec une lenteur calculée ma descente vers la fourche de ...
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