L'étalon aiguille (6)
Datte: 17/06/2020,
Catégories:
Transexuels
... tu te remaquilles
. "
Et que tu retrouves un peu plus de poitrine" ajouta t’elle en plaquant ses mains sur mon torse et en se collant dans mon dos. Philippe finissait de cerner ses yeux au khôl dans la salle de bains. — Je vous laisse la place, j’ai fini
Là
Voilà. — Waôw ! Super fringues.
Non, sans déc’ ! Il parût surpris de ma réaction, mais elle était sincère. Sa jupe et ses cuissardes étaient vraiment de qualité, on voyait qu’elles avaient été achetées dans une "vraie" boutique et non pas dans un sex-shop
. Tiffanny passa ensuite plusieurs minutes à m’appliquer délicatement sur le visage ombre à paupières, khôl et rouge à lèvres. Puis elle me demanda de la suivre dans sa chambre. Elle ouvrit le tiroir d’une petite commode et en sortit un soutien-gorge assorti au string que je portais depuis maintenant plus d’une heure. — Tiens, enlève ton pull et passe-le. Et puis, tant que tu y es, rembourre-le avec ça. — Merci. À nouveau, elle se colla dans mon dos, faisant glisser dans un doux crissement le cuir de sa jupe contre celui de mon pantalon, puis laissant sa main droite traîner sur ma hanche, elle caressa ma fausse poitrine de la gauche. Emoustillé par le spectacle, Philippe quitta l’encadrement de la porte où il stationnait pour venir peloter sa femme. La soirée commençait bien ! Lorsque Tiffanny se dégagea sans nous avoir prévenus, il se retrouva en perte d’équilibre et s’accrocha instinctivement à mes épaules pour ne pas trébucher. Elle fût manifestement ravie de la ...
... situation et son rire clair emplit la pièce. Alors que j’allais renfiler le pull, elle me le prit des mains et me donna à la place un blouson sans col et très court, en cuir noir lui aussi. Elle remonta elle-même la fine fermeture éclair en l’arrêtant juste en dessous des seins. — Alors, cet apéro, c’est pour quand? — Tout de suite, ma belle, j’ai fini de le préparer pendant que tu maquillais notre petite Sam. Pendant que nous sirotions nos cocktails, Tiffanny brancha Philippe. — Allez, Phil, dis-moi ce qui te travaille. — Rien. — Arrête, je te connais, tu as quelque chose sur le cœur, alors dis-le ! — — C’est quoi? Tu es jaloux, c’est ça ! — Non, il n’y a rien, je te dis
. — Phil, je te connais ! Attends, on en avait parlé, non? On était d’accord
. — Oui, mais
Et puis d’abord, comment ça se fait que le pantalon que tu portais ce matin se retrouve ce soir sur les fesses de Sam? Tu vas me faire croire que vous êtes allés dans les toilettes des filles et que vous avez échangé vos habits par-dessus la porte des chiottes, peut-être, hein? — Non. Il est venu dans mon bureau et il m’a prise là, sur le bureau après m’avoir fait jouir en léchant mon pantalon et en me caressant. Et il m’a prise à mon propre piège en me disant que ce soir, il ne se contenterait pas de mes bottes comme la veille, et qu’il porterait TOUS mes vêtements. Voilà. — Philippe, je, euh
... — Non, non, Sam. Tu n’as pas besoin de t’excuser ou quoi que ce soit… Ça fait partie de nos règles, et Tiff’ est toujours ...