1. Femme BCBG, escorte, non, pute… (116)


    Datte: 17/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Le compromis d’achat de mon pavillon en rudoyant légèrement Illy qui veut s’accaparer les filles qui m’entourent est signé. Dès qu’une secrétaire particulière me fait entrer dans un bureau je comprends pourquoi autant d’argent, j’ai l’habitude avec les personnes connues depuis que je fréquente Frédéric et Frédérique et j’ai devant moi une cliente très connue du Tout-Paris et surtout de la classe dirigeante. • Bonjours Christine, je sais que vous avez un nom d’escorte mais il se trouve qu’il y avait quelques années j’avais une camarade de jeu qui se nommait Christine et je préfère employer ton prénom. Vous, tu, me faisant plaisir car les distances viennent de se réduire entre nous et surtout je comprends le message, il y a eu enquête et la cliente sait tout de moi. • Tu connais mon nom mais tu vas comprendre pourquoi je souhaite que tu m’appelles Démone. Si tu es d’accord, suis-moi dans deux minutes je vais te montrer pourquoi. Démone, je comprends de moins en moins mais je comprends de plus en plus mes 5 000 € de contrats. Nous sortons du bureau et je la suis dans un couloir qui mène à sa chambre. • Voilà pourquoi Démone ! Elle enlève son chemisier, elle est seins nus mais étrangement pas si nue que cela. De la base de son cou jusqu’à sa jupe aussi chic que la mienne son corps est recouvert de tatouage, pas des tatouages représentant des papillons ou autres personnages en couleur mais des dessins sataniques et tous noirs. Ce sont surtout des personnages démoniaques qui la ...
    ... recouvrent avec même des chauves-souris, des têtes de mort voire des diables avec des faux. Elle enlève sa jupe, avec absence de culotte mais des bas noirs qu’elle enlève et jusqu’au bout de ses orteils les mêmes formes ou personnages sont tatoués. • Christine, voici ce qui me reste de mes 18 ans et de ma période Gotique où je rejetais ma condition de jeune fille issue des beaux quartiers de Paris, j’ai traîné dans les endroits les plus sordides de la capitale sans que mes parents sachent que j’étais passé dans une vie parallèle le soir. J’ai fréquenté dans la période une jeune femme qui se faisait prénommer Diablesse, c’est elle qui m’a tatoué pour mon plus grand plaisir car chaque tatouage a une vie propre et une histoire. Comme l’on dit, dans ce temps-là, je me faisais sauter mais surtout léché par tous ce que je pouvais attraper. J’ai même touché à des produits illicites mais sans jamais décrocher des études car en bonne comédienne, je donnais le change dans la journée et surtout j’avais des facilités pour apprendre, j’ai ainsi pendant tout le temps de mes études mené une double vie. Un jour j’ai rencontré un homme marié très connu dans le monde ou j’évolue aujourd’hui, il m’a ouvert les yeux sur la mauvaise pente sur laquelle j’étais et qu’il serait bon que je l’épouse pour mon bien après qu’il eut divorcé. J’étais dans un de ces bars de Paris où la clientèle avait les mêmes passions pour le gore et mon mari car je l’ai épousé étais tatoué intégralement comme je le suis. Il ...
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