1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (30)


    Datte: 17/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... notre patrimoine génétique ? …tu as été gâté par la nature et ta tante se régale… (en me suçant par saccades à chaque phrase) …si ta mère me voyait ! …elle n’en croirait pas ses yeux… En reprenant sa fellation avec application. — Ouh Véro…ouh là… Lui murmurai-je en me contractant. — Hann oui… (elle pompa mon sexe sans se précipiter) …viens dans ma bouche…viens voir Tatie (dit-elle en me caressant le torse et en aspirant son visiteur entre ses lèvres somptueuses) …ouiiiiii…humm…hummm (grogna-t-elle en avalant par gorgées le fruit de mon plaisir) …oooh ce que j’aime te sucer Patrick ! …laisse-moi encore continuer… Chuchota-t-elle en me regardant avec mon pénis repus entre ses dents blanches. Décidément, j’avais rendu ma tante folle de moi et folle de sexe. Ma belle quadra s’était montrée entreprenante, douce et surtout terriblement amoureuse. Le mois d’août s’écoula sans aucunes nouvelles de mes parents. Durant la première semaine, nous avions évoqué le sujet pour ne plus en parler par la suite. Ma mère allait avoir 51 ans début septembre. J’avais juste prévu de lui passer un coup de fil, Véro ne voulant rien savoir. Nous avions finalement trouvé une maison près de Marseille, disposant d’une piscine. Assez vaste, nous disposions d’une chambre pour chaque garçon, Hugo compris. Ayant peu de meubles, le déménagement fut aisé et je remerciai Richard, mon boss muté à Paris. Au moment de quitter Hambourg sans aucun regret, Véro démissionna et se mît en recherche d’un job. Mon ...
    ... salaire étant suffisant, elle ne fut guère angoissée d’être sans travail avec son petit pécule de côté. Très vite je m’intégrai à l’équipe en modifiant l’organigramme, quitte à déplaire à certains. Les patrons japonais ne m’avaient pas muté pour mes beaux yeux. Je me devais de redresser ce site, mal géré à mon goût. Bref, le soir je rentrai retrouver en quelque sorte ma petite famille. Oscar et Jules avaient quitté leur père, Jacques ainsi que leur jeune belle-mère, la sulfureuse Christine. Avec l’éloignement, il ne les verrait que durant les grandes vacances, les garçons étant ravis de quitter cette belle-mère capricieuse voire lunatique. Un soir, ou plutôt le soir de l’anniversaire de ma mère, je l’appelai sous le regard inquiet de sa sœur. La conversation fut d’une banalité effarante. Nous ne savions pas quoi nous dire. Ma mère me posait des questions sur mon job et l’ambiance qui y régnait, en prenant bien garde d’éviter le sujet brûlant entre ma tante et moi. A la fin, elle me demanda si je comptais venir les voir un jour. Je répondis par l’affirmatif, ainsi elle m’invita pour le week-end suivant avec mon fils Hugo. Je raccrochai sous l’œil rageur de ma tante. — Tu as vu ? Pas un mot sur moi ou les enfants ! …ils nous considèrent comme des pestiférés ou quoi ? …Hé les garçons ! J’ai dit au lit ! Sinon Patrick va monter ! (s’écria-t-elle à l’encontre des deux garnements faisant du bruit, malgré leurs promesses de dormir) …là je n’en reviens pas…et toi, tu n’as rien dit, tu vas ...
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