1. Exhibition dans un hôtel d'Angoulême


    Datte: 17/06/2020, Catégories: Masturbation Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    J’étais à Angoulême pour une nuit cette année-là. En entrant dans la chambre que j’avais réservée dans ce petit hôtel du centre-ville, je ne savais pas encore que j’allais vivre une des expériences les plus excitantes de ma « carrière » d’exhibitionniste.Rien à signaler le soir. Après dîner, j’étais rentré dans ma chambre, m’étais mis à poil et, comme c’était mon habitude, un de mes premiers gestes avait été d’ouvrir la fenêtre de ma chambre. Il était tard. Nous étions en mai et il avait fait très chaud durant la journée. J’étais cuit ! Nu à la fenêtre, je sentais une brise légère et tiède caresser ma peau et ma queue qui, peu à peu, prenait possession de l’espace. Mais rien à l’horizon : les fenêtres en face de moi étaient fermées. Aucune lumière, ce qui ne signifie rien d’ailleurs, les voyeurs aimant rester dans l’obscurité. Qui sait, on m’observait peut-être...Plus loin, et un peu plus en hauteur, d’autres fenêtres, éclairées celles-là. De temps en temps, une ombre passait mais rien là non plus.La salle de bains donnait elle-aussi, par deux fenêtres, sur le même côté que celle de la chambre. J’ouvris une des fenêtres : le vis-à-vis était beaucoup plus près. Cinq ou six mètres peut-être. Une rangée de fenêtres, toutes éteintes, sur trois niveaux. Pas de chance !J’eus tout de même le plaisir de trouver dans un tiroir du chevet un numéro récent de Penthouse qu’un précédent voyageur avait eu la délicate attention d’abandonner. Superbes photos, très sexy et suggestives : ...
    ... j’empoignais ma bite et la branlais vigoureusement tout en tournant les pages du magazine. De temps en temps, ma queue à la main, j’allais à la fenêtre vérifier si par hasard... mais non : rien.Et soudain, je tombe sur deux pages collées. Et bien collées ! J’approche le magazine de mes narines : pas de doute, c’étaient du sperme ! Elles étaient collées par une dose abondante de sperme ! L’excitation montait ! Je devais donner mon obole, moi-aussi ! Je me mis à caresser mon gland entre le pouce, l’index et le majeur : il était énorme et ne demandait qu’à juter. J’approchais ma bite de Penthouse, ouvert à une page où l’on voyait une fille, qui ressemblait beaucoup à Sophia Loren, à califourchon sur le visage d’un jeune étalon, sucer son énorme tige ! Quelle bite !Soudain j’éjaculai. A gros jets blancs. Tout alla sur le papier. Je ne voyais plus le visage de la fille et presque plus la bite du mec. Puis je refermai le magazine qui alla reprendre sa place dans son tiroir...Le lendemain matin, anxieux de savoir si j’allais pouvoir montrer ma queue à quelqu’un ou quelqu’une avant de quitter cet hôtel, je me levais vers 6 heures. Tout était calme. Et, soudain, en me penchant à la fenêtre de ma chambre, je la vis : une femme, la quarantaine bien portante, en chemise de nuit à dentelles, sirotant une tasse de café à sa fenêtre, juste en face de celles de ma salle de bains. Allais-je oser ? Oh, et puis, zut ! J’en avais trop envie. Déjà en érection, j’entrais dans la salle de bains et ouvris ...
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