La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°567)
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vous emmène pas « visiter ma collection d’estampes japonaises » comme le dit l’expression consacrée. - Cessez, Monsieur d’Evans, de jouer avec moi. J’ai le sentiment d’être la souris et Vous le chat. - Ah ! Tiens donc ! Très intéressant comme remarque !!! Auriez-vous donc peur ou envie que Mister Chat vous attrape pour de bon ? Et puis souris, soumis, souris, soumis …. Cela sonne presque pareil ! Ne trouvez-vous pas ? Je vous préfère lorsque vous laissez parler la Femme qui est en vous avec sa sensibilité et son émotivité, et non la businesswoman qui montre toujours les crocs par peur de se faire avoir. - Vous n’arrêterez donc jamais, Monsieur d’Evans ? - Non et surtout pas avant que Vous me serviez du « Monsieur le Marquis d’Evans », comme je vous le précise depuis le début de notre entrevue. - Après tout s’il n’y a que cela pour Vous satisfaire, allons-y pour « Le Marquis de Carabassse du Chat Botté » ! Ah, non ! Oups !!! Je voulais dire, « Le Marquis d’Evans du Chât-eau » qui aiment se faire baiser les pieds avec ou sans bottes. - Je vois avec plaisir que vous avez repris de l’assurance et de la répartie, avec un brin d’humour qui n’est pas pour me déplaire. En fait, Je suis de plus en plus certain que ce jeu du Chat et de la souris vous excite bien plus que vous ne voulez l’admettre et que votre chatte à vous en est toute trempée, la cyprine commençant à couler sur vos cuisses. Je ne vois pas à travers l’étoffe de votre jupe, mais je subodore sans grande difficulté ce ...
... qu’il s’y passe. Aurélie est à nouveau mal à l’aise devant cet Homme qui lui parle de son entrecuisse humide, alors que tant l’un que l’autre savent qu’elle n’a pas de petite culotte et qu’elle en ressent une profonde gêne, mais une réelle excitation en même temps. Elle serre les cuisses et les jambes au maximum avant de répondre. - Que cherchez-vous à la fin ? - « V o u s » !!! (d’un ton solennel, ferme et posé, suivi d’un grand silence) Le Marquis d’Evans laisse une bonne minute passée avant de reprendre. - Vous ! Mais, je veux dire par là, Votre vrai « Vous intérieur », celle que vous ne laissez pas entrevoir mais qui se cache au-delà de la façade du paraître et derrière les remparts que vous avez construits pour vous abriter, car vous n’avez malheureusement pour vous personne qui serait là pour vous protéger autant que pour vous guider, sur le long chemin de la vie et de la découverte de soi. - Cette fois-ci, Monsieur le Marquis d’Evans, c’est vous qui rêvez et vous imaginez ce qui n’est pas. Je ne suis pas une citadelle que l’on prend par la force en cherchant à l’attaquer par ses remparts les plus faibles, ceux qui offrent le moins de résistance. Je suis une femme qui aime se sentir désirée et appréciée pour ce qu’elle est, qui peut alors éclore tel un bouton de roses pour exhaler tout son parfum et offrir tout ce qu’elle a de plus beau, à l’extérieur comme à l’intérieur. - Très belle définition, qui rejoint l’idée que je me fais d’une soumise D/s, que Le Maître ne ...