1. Room service


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... monoï et de métissage. De son côté, Cintia se laissait électriser par le courant de ses instincts, bientôt devenu alternatif. Elle se toucha par-dessus le string : des petits mouvements circulaires qui, bientôt, firent pousser des pétales de désir à travers le tissu de sa petite culotte. Franck poursuivit son ascension vers le triangle tant espéré ; il délesta la jeune femme du textile, déjà humide de cyprine, et le porta aux narines pour en humer toutes les essences, avant de le jeter à l’autre bout de la pièce. Plus rien, désormais, ne le séparait du félin de la féline. Il voulait l’apprivoiser, le caresser. Il y posa sa paume pour en sentir la chaleur et plongea la tête au creux de cette chatte câline. Il l’effleura du bout des lèvres, il la sentait languir sous ses caresses fugitives. Puis, dans un geste de délivrance, il en lécha les contours pour rejoindre progressivement le centre névralgique, berceau de la jouissance. Là, il fit danser sa langue autour de son bouton puis le suçota avec délectation. Il redescendit pour visiter sa petite fente qu’il pénétrait, avide de goûter à son antre rosé. Après avoir écarté toutes ses tentures, il laissa tomber un rideau de salive au creux du vagin et le lécha sur toute sa longueur. Cintia mouillait beaucoup et semblait en vouloir encore : « Vas-y bébé ! Doigte-moi maintenant ! Franck ne tarda pas à s’exécuter. Son index et majeur supplantèrent sa langue qui, elle, revint s’occuper de son pain de sucre. L’éphèbe la savourait entre ...
    ... le toucher et le goût, favoris de ses cinq sens. Le tempo imposé instaura, entre les deux amants, une harmonie enchanteresse. Franck jouait juste, autant en clitoridien qu’en vaginal. Les gémissements de la belle trahissaient une volupté non dissimulée. Le plaisir, en cet instant, libérait une libertine incarcérée. Elle ne voulait plus seulement susciter le plaisir, mais aussi le provoquer. Alors, elle se redressa, attisa des flammes à ses yeux, fixa sa proie du regard et, d’un geste vif, lui baissa le boxer, d’où sortit une queue d’étalon, tendue à son maximum. La nature avait copieusement garni la virilité de Franck ; laquelle n’effrayait pas le moins du monde la réceptionniste, qui l’empoigna et la masturba d’un massage sensuel. Dans un ultime regard, la fougueuse Latine titilla, du bout de la langue, le gland décalotté du bellâtre. Elle ne s’y attarda pas, préférant repolir la poutre de la base à la cime pour ensuite redescendre au plus bas pour lui gober les testicules. Elle les suça, les aspira toutes entières puis décocha un commentaire salace : “Tu aimes ça hein ? Et bien moi aussi ! Je vais maintenant engloutir ta grosse bite”. Franck n’eut pas le temps de répondre ; Cintia enfourna le membre turgescent dans sa bouche et l’avala, par bribes, comme un boa le ferait avec une proie prise entre ses crochets. Le membre entièrement avalé, Franck exerça une pression sur la tête de la gourmande pour rester bien au fond de sa gorge. Au moment de reprendre sa respiration, un ...