1. Un dépannage passionnant


    Datte: 18/06/2020, Catégories: fh, fplusag, extracon, Oral pénétratio, init,

    ... droite et plaça le gland dans sa bouche. C’était terriblement bon. Sa langue suçait le dessous de mon gland. De temps en temps, elle enfonçait ma verge jusque au fond de sa gorge. Cela dura bien cinq bonnes minutes. Ensuite, elle se retourna, à nouveau face à l’ordinateur, et remonta sa robe de tissu fin le long de ses jambes, jusqu’à la limite de ses hanches. Je découvris sa culotte de tissu, sous cette robe bleue et jaune, parsemée de fleurs imprimées. Je lui caressai alors la croupe, tout en essayant de glisser mon index entre la culotte et sa peau, sur le dessous de celle-ci. Voilà, j’y était arrivé ! Elle se tenait debout, raide devant le bureau, alors que moi, avec ma main droite, je caressais délicatement ses lèvres pubiennes de mon index. Elle avait maintenant la respiration très lente et profonde. Je descendis sa culotte le long de ses jambes fines, jusqu’à ce qu’elle touche par terre. Tout en se maintenant au bureau, elle se recula afin d’augmenter la cambrure de ses reins. Je me plaçai derrière elle et, tout en plaquant mon sexe sur sa vulve, je poussai un peu avec mon corps, jusqu’à sentir l’entrée du vagin. Ma poussée fut lente et répétée. J’étais maintenant dans son intimité, je pouvais la sentir mouiller abondamment. Effectuer des va-et-vient fut un véritable plaisir, d’autant que mes mains avaient repris leurs caresses sur ses seins. Je la sentais respirer de plus en plus fort, poussant même de ...
    ... léger soupirs à mesure de mes étreintes. Jamais je n’avais vu une femme mouiller autant. Plus elle mouillait, et plus j’avais envie de la pénétrer profondément. Nous étions tous deux collés l’un contre l’autre. Elle, face au bureau, les jambes écartées, moi, derrière elle, lui donnant de sérieux coups de reins, afin de toujours la pénétrer, de bas en haut. Ses mains cherchaient mes hanches et s’accrochaient à mes jambes. Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir, moi non plus d’ailleurs. Elle jouit d’une seule traite. Je la suivis à quelques secondes près. Nous n’avions même pas pensé à nous protéger, ce qui fait que je venais d’expulser toute ma semence dans son vagin. Nous continuâmes à être pris de petites convulsions, alors que nous étions encore plaqués l’un contre l’autre. Petit à petit nous retrouvâmes nos esprits, et tout en récupérant nos affaires, nous nous adressâmes de petits sourires, ou même de petites bises. Je repartis ce soir-là sans avoir gagné un franc, mais en ayant eu la double satisfaction de satisfaire cette femme sur le plan personnel et professionnel. Nous avons gardé quelques rapports, qui se sont peu à peu espacés dans le temps. Aujourd’hui, nous nous parlons surtout au téléphone et, parfois, par l’entremise d’amis communs, qui ne savent bien sûr pas que cette femme, de quarante-huit ans à l’époque, avait mis fin, un soir de juin, à mon pucelage tardif (j’avais alors vingt-quatre ans). 
«123»