1. Nicole et sa fille (7)


    Datte: 03/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et se met tête-bêche sur moi pour me dévorer la chatte. Je geins faiblement sous ses léchouilles avant de décider de lui rendre la pareille. Mes lèvres appuient sur ses lèvres vaginales couleur de corail au satin tiède, toutes offertes à ma langue exploratrice. Nous nous léchons comme deux folles. Pierre nous contemple, lascif. Ses yeux ne peuvent se détacher des deux disciples incestueuses de Lesbos. Il a retrouvé toute sa raideur et sa matraque s’annonce prometteuse pour de futures pénétrations. Il nous fait mettre sur le coté pour pouvoir nous prendre l’une après l’autre dans cette position. Il s’approche de moi collant son bassin à mon cul, disposant sa verge dans le fossé ombré de mes jolies fesses, ses couilles bien au chaud dans la main de ma fille. Stéphanie lui pelote les bourses, tout en continuant à lécher profondément ma chatte, écartant de sa langue folâtre et pointue mes lèvres intimes pour mieux encore s’introduire dans mon large sexe. Pantelante, je m’ouvre alors à son baiser ravageur qui allume un brasier dans mon ventre. Je me le laisse dévorer et je jouis à perdre haleine dans la bouche de ma fille. Pierre repousse la tête de Stéphanie et s’introduit sans difficulté dans ma grotte lubrifiée par mes sécrétions abondantes. Il va et vient avec sa flamberge qui glisse délicatement en moi. Il balance à présent son derrière sur un rythme soutenu, les basoches toujours dans les mains de ma fille dont les doigts grattent délicatement la peau fine des bourses. Il se ...
    ... retire complètement, titillant par instant mon anus avant de replonger dans ma matrice. Ne voulant léser personne, Pierre change régulièrement de moule, nous permettant à tour de rôle, de voir sa dague investir le fourreau de la mère ou de la fille. Il nous amène l’une après l’autre à l’orgasme. Stéphanie a le sien quand j’étreins fiévreusement son cul, le pinçant, sa chatte complètement engoulée par ma bouche, pour que je profite de sa mouille. Du coup je lâche les grandes eaux que Pierre fait jaillir de ma cramouille sous la pression de son piston démesuré. Il décharge abondamment dans mon divin con, complètement noyé. Je sens la langue de ma fille lécher lentement la cyprine et le foutre qui perlent de ma raie et qui, ensuite avale sa verge pour une petite séance de nettoyage. Je ressens une douleur vive sur mes fesses quand il me donne de vigoureuses claques sur le derrière signifiant qu’il est temps que le mâle reprenne le pouvoir sur les deux lesbiennes. Il nous fait nous étendre l’une à coté de l’autre et c’est maintenant lui qui s’occupe de nos abricots. Il nous pétrit la poitrine, nous caresse le cul, nous lèche les seins. Je crispe ma main dans ses cheveux pour l’encourager. Il me mordille les tétons pendant que chacune de ses mains s’égare dans nos raies culières, nous gémissons de plus belle. Maintenant il goûte nos humeurs corporelles, découvrant les parfums si différents de nos chattes. Il enterre son visage dans ces temples de la femme, s’enivrant se sentir la ...