Comment assouvir une pulsion sous la chaleur...
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
parking,
voiture,
volupté,
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
La température était écrasante en cette fin d’après-midi, l’air était irrespirable, et l’horizon se perdait dans des brumes de chaleur. " Fichu désert ", se dit Tom en s’épongeant le front. Il passait seul la journée dans ce garage perdu au milieu de nulle part, à plusieurs miles du village, sur la route menant à la frontière mexicaine. Les cours à l’Université ne reprendraient pas avant quelques semaines et son oncle lui avait confié la station durant quelques jours, pour s’octroyer un peu de bon temps sur la côte ; il l’imaginait bien, allongé au bord d’une piscine, un verre à portée de main, à mater toutes les filles passant devant son transat ! Et lui, pauvre étudiant, passait son temps à réparer les vieilles bagnoles que les tocards du coin leur confiaient, et avait l’impression de perdre sa jeunesse dans ce trou perdu. Vivement la fin de semaine, il irait rejoindre ses potes au bar du bled, pour siroter quelques bières, faire un billard et reluquer les filles …Qui sait, peut être que cette fois-ci, Laura voudrait bien passer à autre chose qu’à une séance de tripotage? Tom poussa un soupir, passa son chiffon graisseux sur son front et retourna dans le hangar, accablé par la chaleur. Encore quelques heures à tenir, et il pourrait fermer la boutique, filer à la salle de sport faire quelques exercices pour entretenir ses pectoraux et prendre une douche vivifiante. Une véritable fournaise l’attendait dans le hangar plongé dans la pénombre, mais Tom se remit à astiquer la ...
... vieille Buick que son propriétaire devait récupérer demain. Le ronflement d’un moteur lui parvint et surpris, il leva la tête. Qui pouvait bien se perdre sur cette route à cette heure-ci ? Une voiture s’arrêta devant la station, et il entendit le claquement d’une portière et un bruit de pas sur le gravier. Quelqu’un se rapprochait du hangar. Une silhouette se détacha dans l’embrasure de la porte, et Tom ne put s’empêcher de siffler. Une femme, vêtue d’une robe légère et blanche qui, à contre-jour, laissait deviner ses formes… « Y a-t-il quelqu’un ? J’ai un problème avec ma Porsche, je crois l’avoir faite un peu trop chauffer… » Tom s’avança, gauchement, se sentant mal à l’aise dans sa vieille combinaison tachée et maculée de graisse, devant cette femme à l’allure distinguée, et féline à la fois. Elle balançait nonchalamment la clé au bout de son index, un sourire léger au coin des lèvres, le regard masqué derrière des lunettes noires. « Heu, je m’appelle Tom, je n’y connais pas grand chose en voitures de sport, mais je vais voir ce que je peux faire. On va la rentrer sous le hangar » L’inconnue lui lança la clé, rejeta en arrière ses longs cheveux noirs, et d’une démarche chaloupée, perchée sur ses talons aiguilles, elle s’avança à l’intérieur du garage. Tom rattrapa la clé au vol, sourit à l’idée de conduire quelques instants l’engin rutilant garé devant le hangar. Elle l’effleura au passage, et il sentit son parfum envoûtant et capiteux, et à cet infime contact, il sentit des ...