Découverte du SM (4)
Datte: 19/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... gel sur ma rondelle, s’en enduisit un doigt qu’elle m’enfonça d’un coup dans la rondelle. Je poussai un petit cri de surprise. Elle commença un va-et-vient rapide mais s’arrêta subitement. « Tu aimes, petit pédé ? » « Oui Maitresse, continuez s’il vous plait. » Elle reprit donc mon enculage et introduisit bientôt un deuxième doigt. Le mouvement se fit plus lent. J’accompagnai son mouvement de petits coups de reins. Ma queue et mes couilles ballotaient sous moi. J’avais envie de me branler. Je sentis qu’elle avait réussi à repérer l’endroit de ma prostate et qu’elle se concentrait sur cette zone. Au bout de quelques minutes de ce traitement je fus secoué d’un violent orgasme et je m’écroulai sur le lit, des étoiles plein les yeux. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir, d’une telle intensité. « Je vois que j’avais bien deviné tes tendances cachées, tu es capable de jouir du cul mon petit pédé. Je suppose donc que tu vas apprécier le jouet que tu vas devoir porter maintenant. Remets-toi à quatre pattes. » Dilaté par le doigtage, ma rondelle n’eut aucune difficulté à recevoir le plug. « Ça sera surement moins agréable que mes doigts mais il faut que tu prennes conscience de ta nature de pédé. En plus, vu tes dispositions, ça entretiendra surement chez toi une certaine excitation que tu ne pourras pas dissiper en te branlant et ça me plait bien. » Effectivement, sentir le plug enfoncé dans mon intimité faisait monter en moi des pensées lubriques, des souvenirs de la ...
... pénétration de la rondelle de ma femme (avant qu’elle de devienne ma Maitresse), une envie de me faire sodomiser par un male en rut à la bite monstrueusement développée bien que je sache que cela m’était désormais interdit. « Et voilà, tu vas avoir une bite dans le cul en permanence, j’espère que tu es content, même si elle n’est pas bien grosse ? » « Oui Maitresse Cathy, merci beaucoup. » « Bien. Mets ta tenue et fait ce que tu as à faire. » Je passai le reste de la matinée à faire divers travaux ménagers et à préparer le repas. Maitresse Cathy était restée dans la chambre toute la matinée. Je l’avais entendu téléphoner sans pouvoir saisir la teneur de la conversation. Vers midi, elle descendit au salon toujours vêtue d’une combinaison de lycra noir (forcément une deuxième puisque je venais de laver celle qu’elle portait hier). Elle s’installa dans le canapé, me demanda son apéro. A peine l’avais-je servi qu’un coup de sonnette me fit sursauter. « Merde on n’attend personne ! Et moi dans cette tenue ! » Je me précipitai dans la cuisine, pensant que ma femme allait aller ouvrir et renvoyé l’opportun. Au lieu de ça, je l’entendis crier : « Va ouvrir, connard, tu ne t’imagines quand même pas que je vais faire le larbin à ta place ! » Je me dirigeai vers la porte, rouge comme une pivoine, ne sachant comment j’allais faire pour ouvrir à quelqu’un dans cette tenue sans mourir de honte. J’entrouvris la porte et soulagement j’aperçus le visage souriant de Florence. Vu ce que j’avais déjà fait ...