Education d'une épouse
Datte: 19/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
... entra sans réelles difficultés, offrant la vue de cet orifice si étroit à ces hommes en pleine domination de leurs convives. J’ai senti que plusieurs hommes s’attroupaient autour de cette table de « torture ». J’étais à nouveau complètement exhibée, à la merci d’inconnus. Des commentaires prenaient part à la scène, du plus consenti, au plus humiliant en passant par les plus crus. Puis vinrent s’abattre sur mes fesses de lourdes fessées, comme pour me punir de l’image de plaisir que je renvoyais à ces mâles dominants qui ne le toléraient pas.Mon supplice continua, les coups étaient plus rapides, plus précis. Mes fesses s’échauffaient et devaient avoir pris une couleur rouge maintenant. Puis tout s’arrêta, me laissant dans cette position des plus humiliantes, pour moi qui n’était encore que novice dans ce monde. De longues minutes passèrent, ma croupe tendue vers ces mâles qui devaient s’en accommoder.Des cris lointains se faisaient entendre. De longs gémissements féminins combler ces lieux. Était ce de la torture, des cris de plaisir, je ne savais plus.Ses gémissements, que je discernais très bien désormais, se rapprochaient de moi, comme si la soumise prise à partie se rapprochait ou alors comme si le cortège des maîtres se déplaçait d’une soumise à une autre. Le pressentiment que mon tour allait arriver ma torturait l’esprit, qu’allaient ils me faire ? J’allais sans aucun doute être à nouveau humilier, traitée comme une moins que rien, un objet de tous les vices, sur ...
... lequel toutes les pratiques sont permises. J’avoue que malgré l’appréhension ressentie, mon plaisir augmentait proportionnellement. Des talons arrivaient à proximité de moi, de cette table qui m’avilissait. Un homme ôta mon bandeau et mon bâillon. Mes lèvres étaient libres, je pouvais à nouveau respirer normalement. Ils étaient masqués, d’autres cagoulés, ces hommes que je reconnu en tant que tels par leur carrure imposante. Je fus surprise de la cérémonie autour de moi. L’ensemble des soumises autour de moi étaient positionnées de la même façon, attachées à quatre pattes sur une table et les fesses bien hautes, offertes à tous les assauts.J’étais entourée. Je ne pouvais les compter, la lumière insuffisante, mes yeux qui sortaient de l’obscurité la plus totale, je ne discernais que quelques silhouettes masquées. D’autres semblaient être plus loin, en spectateurs.Une cravache glissa dans le sillon de mes fesses avant de ne s’abattre sur une d’entre elles. Un cri s’échappa de ma bouche et je reçu un deuxième coup pour me faire comprendre que je ne devais pas montrer mes émotions, notamment celles de la douleur. Une main m’empoigna mes cheveux et les tira violemment. Ma tête suivit ce mouvement, et une voix rauque me demanda d’un ton sûr d’elle, si j’aimais ce qui m’arrivait. Je répondis que j’aimais être soumise aux désirs des hommes. Il me demanda encore si cette situation m’excitait. Et avant que je ne réponde, une autre voix confirma que je ruisselais de plaisir. La soumission ...