Je vais vous raconter une histoire de fesses...
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
délire,
humour,
... geste rapide, dégrafai son soutien-gorge. » — Sacrebleu, Brigitte, vous avez de fameux poumons !…— …— Oui, vous aussi, Jacqueline, c’est vrai, mais bon… Brigitte, quand même, c’est autre chose, hein !…— …— Marceline, je vous laisse l’entière responsabilité de l’expression « bombasse siliconée » que vous venez d’utiliser, nous mettrons cela sur le compte de la jalousie.— …— Oui, François ?… Ah, les pièces sont d’origine ?… Très bien, très bien. Merci d’avoir vérifié pour nous.— …— Mais oui, Kevin, branlez-vous directement ici, vous gagnerez du temps. « Elle m’aida à la débarrasser des vêtements, puis pivota et appuya son dos nu contre ma poitrine, pressant les fesses contre mon membre gonflé. » — Hmmm… Ooh, Charlotte ! Ce que vous êtes gourmande ! « Je promenai les mains sur son ventre ainsi offert à la caresse, emprisonnai les globes de ses seins,… » — Putain, Brigitte, quelle paire ! « … emprisonnai les globes de ses seins, effleurai les mamelons dressés… » — Oui, comme ça François, Brigitte apprécie - moi aussi, nom d’une pipe, c’est bandant. Holà ! Mamadou ! Vous arrivez à manœuvrer, avec ça ?— …— Mais non, c’est pas du racisme ! « Je l’embrassai dans le cou, descendis une main vers son pubis tandis que de l’autre épousait la courbe d’un sein, comme pour le soupeser… » — Non, Jean-Pierre, ne vous mêlez pas de ça. Contentez-vous de mater, ça vaudra mieux. Et cessez de baver, c’est dégoûtant. « … comme pour le soupeser, les doigts s’attardant autour du mamelon. Je glissai ...
... l’autre main vers son entrejambe… » — Jacqueline mouille bien, François ?— …— Ah, oui, je le vois d’ici, c’est dire ! « …mes doigts vinrent au contact de l’étoffe soyeuse de la petite culotte… » — Ça coûte cher, Brigitte, un string comme ça ?— …— Ah, quand même ? Moins y’a d’tissu plus c’est cher, comme on dit ! Bon, j’en étais où, moi ?… Doucement, Charlotte, ce n’est pas un yo-yo. « …l’étoffe soyeuse de la petite culotte, rencontrèrent la douce et chaude humidité qui imprégnait le tissu à cet endroit. Charline se serra davantage contre moi … » — …— Oh oui, Charlotte, vous aussi, j’aime bien. « … entamant un lent mouvement des reeeeins… ah ! des reins, qui plaquait mon pénis dressé contre la raie de ses fesses, au travers du fin vêtement…» — …— Oui, c’est beaucoup mieux sans, Charlotte, vous avez raison. Cet auteur n’y connaît rien. « … dans un frottement entretenant mon excitation, et que j’accompagnai d’un même mouvement des doigts sur la moiteur de l’étoffe, poussant celle-ci entre les lèvres de son sexe humide. » — Oui, comme ça, François, vous êtes doué. Qu’est-ce que ça m’excite de voir ça. Surtout que Jacqueline a un sacré beau cul. Et qu’est-ce qu’elle mouille, alors ! Excusez-moi, mais là…— …— Bon, oui, Christine, les blondes mouillent bien aussi, ce n’est pas la peine de nous le montrer…— …— Eeeh oui, Philippe, c’est une vraie blonde, vous en doutiez encore ? Ah. Où en étions-nous ? «…Nous n’étions pas coutumiers… » — Gnagnagnaaa… là, je passe, c’est ch… c’est philo— ...