1. Interlude


    Datte: 19/06/2020, Catégories: f, fbi, jeunes, grossexe, grosseins, vacances, revede, Transexuels Masturbation fgode, jouet,

    ... dévisagent avec stupeur et incrédulité. — Bah, j’ai l’habitude, je me baigne même avec, reprend-elle sur un ton moins provocant. Sinon, en maillot, je me fais griller tout de suite. Je n’ai pas envie que tout le monde sache ce que je suis. En général, les gens ne réagissent pas très bien. Je compte sur votre discrétion, les filles… Mais elles ne répondent toujours pas, encore ébahies par la situation. Seule Clarisse finit par acquiescer du bout des lèvres. Et Julie, ramassant ses affaires, passe devant les jeunes femmes toujours nues pour sortir de la cabine. — Bon, on se voit ce soir près du bar ? Lisa et Océane s’écartent en saisissant en hâte leurs serviettes de bain pour se cacher tandis que la porte s’ouvre. — Je ne connais pas encore bien le camping, mais si vous êtes d’accord, vous me ferez visiter. À plus ! Et elle sort, abandonnant ses trois « victimes » abasourdies, toujours incrédules. Clarisse, sa serviette ceinte autour de sa taille, fait un pas hors de la cabine de douche, observant Julie s’éloigner en roulant de ses fesses sublimes. ________________________ Le cœur léger, après avoir passé un peu de temps dans une cabine avec lavabo à se coiffer et finir de se préparer, Julie marche lentement à travers les allées du camping. Elle a encore un peu de mal à s’y repérer, mais elle retrouve sans peine l’allée du mobil-home qu’elle occupe avec sa tante. Depuis qu’elle est ado, elle part en vacances avec sa tata adorée, la plus jeune sœur de sa mère, qui est prof et ...
    ... régulièrement célibataire, et a donc du temps pendant les vacances scolaires. Elles n’ont qu’une quinzaine d’années d’écart, et elle se sent bien plus proche d’elle que de qui que ce soit d’autre, notamment de ses parents. Même si ceux-ci se sont toujours montrés les plus bienveillants du monde, la différence physique de Julie lui a rendu la vie et les relations sociales assez difficiles. Elle n’a jamais eu d’amitiés fortes, proches, durables, que ce soit avec des filles ou des garçons. Et n’a même pas osé envisager l’amour, le vrai, le grand. Mais depuis quelques années, depuis que son corps s’est épanoui pleinement, elle considère les choses autrement. Elle sait qu’elle est belle et désirable ; elle sait l’effet qu’elle produit sur les hommes. Elle connaît cet effet mieux que personne, même, car elle le subit elle aussi lorsqu’elle croise de belles femmes, voluptueuses, excitantes. Bandantes. Alors elle a décidé qu’à défaut d’amitiés durables ou de pleines amours, ce serait dans le sexe qu’elle s’épanouirait. Et depuis quelques années, elle se fait un jeu d’essayer les hommes, les femmes. C’est loin de lui être facile, cependant. Comme elle vient de l’expliquer à Clarisse et ses amies, la plupart des gens réagissent assez mal en apprenant qu’elle est hermaphrodite. Souvent ils se sentent trahis, les hommes surtout. Mais dans le feu de l’excitation, ils lui cèdent régulièrement, emportés par sa beauté et son tempérament de feu. Tout ça, elle n’en parle pas, ou presque. Un peu ...
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