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Lucile amoureuse salope (10)
Datte: 20/06/2020, Catégories: Transexuels
10 – Jeanne et les hommes Alors qu’ils trinquaient à la santé de Jeanne, cette dernière eut la charge de déshabiller les trois hommes. Un garçon de salle qui se tenait près d’eux récupéra leurs vêtements qu’il porta aux vestiaires. Les vins du repas et le champagne avaient désinhibé tout le monde et les mains et les bouches se faisaient beaucoup plus exploratrices. Mais, par contre, les verges avaient du mal à bander car les boissons ingurgitées pesaient également sur les vessies de ces messieurs. Charles que Jeanne suçait fut le premier à exprimer son besoin d’aller aux toilettes. — Vous pouvez utiliser la bouche de Jeanne pour vous soulager, dit Lucile. Je vous ai dit qu’elle avalait tout ce qu’on lui donnait. À la maison, elle me sert fréquemment d’urinoir et sa langue remplace avantageusement le papier toilette. N’est-ce pas ma Chérie ? — Oui, c’est vrai, répondit Jeanne. Au début, c’était un peu bizarre, mais maintenant j’aime bien. Quand je suis présente et que Lucile est avec un amant, c’est moi aussi qui lui nettoie la bite quand il l’encule et je lèche systématiquement tous les godes et plugs qu’elle m’enfonce dans le cul. — Et bien je crois qu’il est temps de changer de lieu, conclut Robert. Ce ne sont pas des choses qui se font dans la salle de restaurant et moi aussi j’ai envie de pisser et peut-être un peu plus… Si vous êtes d’accord, nous pourrions faire chambre commune, il y en a quelques unes ici qui sont adaptée pour les pratiques un peu sales. — Je crois ...
... que c’est une bonne idée, répondit Jean-Jacques, mais peut-être Charles voulait-il se retrouver plus intimement avec Jeanne. — Ça va, répondit Charles en mettant une main au cul de Jeanne. On a déjà dit que je passerais en premier mais que vous pourriez aussi en profiter. En plus, je peux la voire tous les jours alors j’aurai d’autres occasions. Nous pourrions aller dans la grande chambre du second. — Si tu veux, dit Robert, allons nous montrer en spectacle, et c’est vrai que c’est la plus confortable avec sa grande estrade à partouze. Jeanne et Lucile se laissèrent conduire dans les étages du Palais d’Éros. Tous les couloirs étaient assez sombres et simplement éclairés par des lumières tamisées. Les sols étaient couverts de moquette rouge et les mur d’un tissus aux motifs chargés à dominante rouge également. A l’entrée de chaque chambre, il y avait un descriptif succin de sa destination et de son contenu. Il dépassèrent l’étage des chambres pour relations classiques qui ne permettaient pas d’être à plus de deux ou trois et ne permettait pas les fantaisies aux quelles ils comptaient se livrer et montèrent à l’étage supérieur. Il était destiné aux partouzes mais excluait les rapports BDSM. Quelques chambres n’avaient pas de porte et des hommes et des femmes s’y adonnaient à des rapports multiples et désordonnés où tout le monde baisait avec n’importe qui et où n’importe qui baisait avec tout le monde. Des hommes trainaient nus dans l’espoir d’être invités à partager des ébats ou ...