Impardonnable !
Datte: 20/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
lunettes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
... — Oui, Monsieur, c’est cela, une chambre simple, ce soir. À la porte de mon bureau, je la regarde s’en aller. Pas moyen de décoller les yeux d’elle. Elle est magnifique dans son jean moulant, avec sa séduisante chemise blanche qui lui dessine une taille de guêpe. Elle entre dans l’ascenseur. Il bipe, mais ne me fait pas réagir pour autant. Les portes commencent à se refermer. Anne lève les yeux se sentant observée, me regarde, me fait un clin d’œil et me mime silencieusement une bise. Ouah ! Ai-je rêvé ? Non aucun doute ! Les portes sont fermées mais l’image reste gravée dans ma tête. Mais en quel honneur ? J’hallucine ! Trop cool ! Mais au fait, mon PC… Je me jette littéralement sur mon clavier ! Mon cœur bat la chamade sous l’adrénaline. Et merde ! lancé-je. Le navigateur est toujours ouvert. Il affiche les pages jaunes où elle vient de rechercher les coordonnées de son hôtel. Le drame ne s’arrête pas là, le site de lingerie fine est présent dans l’onglet précédent, et CatWoman est toujours là, menaçante avec son fouet… —o[]o— Le surlendemain, en arrivant, pas mal de monde est déjà arrivé, dont ma si séduisante collègue. En m’approchant du bureau, je ne manque pas de remarquer son superbe chemisier noir, taille toujours cintrée, mais un décolleté plus profond qu’à son habitude. Elle n’a pas une opulente poitrine, mais on s’y laisserait facilement piéger le regard ! D’ailleurs je reste persuadé que ce pendentif qui plonge dans son décolleté n’est rien d’autre qu’un subtil ...
... appât. Heureusement, je relève les yeux avant qu’elle ne m’ait vu ! On se fait la bise, elle me conte sa difficile journée de la veille et son déplacement, mais je n’arrive pas à m’enlever de la tête ce merveilleux clin d’œil, sans oublier ce baiser lancé à la sauvette. J’oublie encore moins qu’elle m’a surpris à consulter un site de lingerie. Et quelle lingerie ! Par contre, elle ne semble pas affectée, aucune gêne, aucune remarque sur le sujet. Du coup, la conversation se poursuit en toute logique sur le thème du travail. Cette semaine, Anne et moi travaillons ensemble sur un projet d’échangeur routier. Les différents plans sont étalés sur la grande table en véritable ronce de polyester. Nous gravitons autour pour vérifier chaque détail du projet. Et chaque fois que nos corps s’effleurent, une véritable vague d’adrénaline submerge mon corps. Je culpabilise des sentiments que je ressens. J’aime ma femme, mais ma collègue accapare de plus en plus mes pensées. Nous réfléchissions à l’implantation de la signalisation verticale quand le feutre d’Anne lui glisse des doigts et roule sur la table. Anne se penche alors et se retrouve quasiment allongée sur la table de réunion. Trop rapide, son espiègle stylo roule jusqu’à moi. Je le rattrape mais mon regard ne peut résister et plonge dans son décolleté. Ses seins, compressés contre la table, m’offrent un saisissant spectacle. Mon indiscrétion a été remarquée, mais je réagis rapidement comme pour éviter toute remarque : — Tu nous fais ...