La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 608)
Datte: 20/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Il se laissait dépouiller de sa dignité, acceptant même de lui offrir la démonstration de sa véritable faiblesse en gage de respect et d’admiration pour elle. Il lui retira ses bottines, comme ordonné, puis laissa le pied de Madame Jane lui soulever ses couilles. Sa queue se raidit un peu plus au contact de ce pied, il se sentit traiter comme un animal un peu sauvage que l’on allait domestiquer et cela l’excitait fortement. Soudainement, un ordre bref le tira de ses réflexions : - A quatre pattes, les chiens. Comme mû par réflexe, sans même s’en apercevoir, les trois soumis stagiaires obéirent. Leur cambrure était parfaite, dégageant ainsi leur fessier, laissant entrapercevoir leurs génitaux balloter entre leurs cuisses. L’instant d’après, une traction sur leur laisse leur fit comprendre que les choses sérieuses allaient commencer. Madame Jane, se contenta dans un premier temps d’une simple petite promenade, une sorte d’échauffement. Les trois soumis la suivaient un peu maladroitement, se marchant un peu dessus, s’écrasant de temps à autre une main avec un genou mal placé. Ils prirent conscience de la difficulté qu’ils éprouvaient à se déplacer en meute. Mais si l’un des trois soumis tentait de ralentir la cadence afin de mieux coordonner ses mouvements avec ceux de ses congénères, il subissait alors une traction inconfortable de la laisse sur son cou. Les trois chiens soumis devaient s’adapter au rythme et au pas de Madame Jane, et certainement pas l’inverse. Après ...
... quelques tours, l’Educatrice s’arrêta et tira sèchement sur les trois laisses. - Aux pieds ! Lâcha-t-elle autoritairement. Les trois soumis, têtes basses, vinrent se positionner immédiatement près des pieds de Madame Jane, comme l’aurait fait un animal, mais eux s’offraient et s’exhibaient sans honte avec une excitation qu’ils ne pouvaient dissimuler. Sur un ton de reproche, Madame Jane enchaîna : - Il faut que vous appreniez à mieux suivre mon pas, il faut que vous vous appliquiez si vous ne voulez pas me décevoir ! Du bout de sa cravache, elle donna une tape appuyée sur le derrière exposé de chacun des trois soumis stagiaires, puis roula les trois laisses autour de sa main afin d’en raccourcir l’allonge. De cette manière, elle limitait la marge de manœuvre dont les chiens soumis disposaient et dès qu’elle se remit en marche, ils ressentirent beaucoup plus directement la traction qu’elle imprimait sur leur collier. Cette fois-ci la translation de la volonté de Madame Jane leur parvenait sans délai et ne leur laissait plus d’autre alternative que de suivre fidèlement la cadence qui leur était imposée. Madame Jane faisait fi de leur problème articulaire, de leurs genoux douloureux, ce n’était pas son souci, elle continuait à se déplacer tantôt vite, tantôt moins, changeant de trajectoire au grès de ses envies ou en fonction des obstacles, attentive aux réactions de ses trois mâles. Mais décidément, ces trois lopes ne parvenaient pas à garder un rythme assez fluide pour qu’elle soit ...