1. Ma belle fille m'a séduite 2


    Datte: 20/06/2020, Catégories: ff, fplusag, fagée, frousses, alliance, Oral ecriv_f,

    Et voici la suite de nos frasques sexuelles, lors de notre première nuit ensemble. Comme dit dans la première partie, la nuit ne faisait que commencer. Et, si moi je me retrouvais nue comme un ver, ma belle fille non, sa jupe de satin noir très courte et son string m’empêchaient de voir son jeune corps nu. Rien que l’idée me faisait saliver de la bouche, mais aussi de l’entrejambe. Je fis tourner ma chaise de bureau, pour me trouver face à Marjorie, une main toujours dans son string, pour lui flatter la chatte. De l’autre, je fis glisser la fermeture éclair de sa jupe. Je dus abandonner sa si douce petite chatte, pour lui faire quitter ce bout de tissu. Je lui empoignai le bas de ce vêtement et le fis glisser le long de ses jambes gainées de bas noir. Elle m’aida en se contorsionnant pour la faire descendre plus vite, et enfin cette maudite jupe tomba sur le sol. Il y avait plus que ce string noir, qui me séparait du bonheur total, j’allais enfin voir cette petite fente et ces poils fins que j’avais caressés et qui me faisaient envie. Mon amante me tenait la tête entre ses mains et me dit : « Tu es si douce, tes mains sur mon corps me rendent folle, je t’aime Julie, je t’aime, fais de moi ta femme, fais moi connaître le plaisir entre femmes, toute les tortures du plaisir saphique, prends-moi mon amour ». Ses grands yeux bleus et sa voix, me transperçaient de part en part, ce n’était pas une demande mais une prière, non, que dis-je, une supplique, et j’étais tellement émue ...
    ... que des larmes de joies coulaient le long de mes joues. Moi, une veille femme de 72 ans, j’avais le bonheur de rendre une jeune femme folle de moi, 30 ans nous séparaient, et c’est moi qu’elle voulait pour maîtresse. Mon cœur battait la chamade, je respirais de plus en plus fort, les yeux rivés sur son mont de Vénus, je fis descendre son string avec lenteur, petit à petit sa toison rousse apparut, fine et brillante de son jus intime, une odeur musquée m’emplissait les narines, ses lèvres intimes palpitaient d’excitation. J’eus envie de me précipiter sur cette friandise, mais je ne voulais pas me conduire comme le dernier des soudards, je me levai et pris ma douce aimée dans les bras pour un baiser torride et sensuel. Nos langues se touchaient, se roulaient l’une dans l’autre, nos mains caressaient nos corps, non plus comme des femme qui veulent baiser, mais comme des êtres qui s’aiment et veulent se faire du bien. Je la poussais doucement vers le lit, où j’avais si souvent pensé à elle. Elle tomba sur le couvre-lit rouge, qui faisait ressortir sa peau blanche, comme seules les rousses en ont, j’eus la visions d’une perle dans un écrin de soie. Je me couchai à côté d’elle, j’embrassai son front, ses yeux, sa bouche, son cou. Ma tête descendit vers ses seins, les tétons de ma bru étaient dressés comme des menhirs, je les titillai du bout de ma langue, les suçai, les mordillai. Son corps tremblait, elle gémissait, son ventre montait et descendait à un rythme effréné, elle criait ...
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