1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (28)


    Datte: 20/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’avais fait rire aux larmes, évoquant une anecdote peu banale au sujet d’un certain collègue du bureau. Nous passions ensuite en revue la bande de copains et copines rencontrés à Biarritz. Ce qui était agréable avec Véro, c’était le fait que nous avions toujours le même point de vue. L’heure passant, Véro me proposa de rentrer chez nous, afin de dresser la table et de réchauffer un filet mignon préparé par ses soins. De retour chez nous, elle s’affaira immédiatement dans la cuisine en mettant le four en route. J’avais pour ordre de ne rien faire, si ce ne fut que de la voir oeuvrer. En maitresse de maison, elle avait déplié une nappe blanche sur la table, pour y amener assiettes et couverts. Durant ce temps, j’écoutai de la musique paisiblement installé sur le canapé. L’odeur de son filet sentait bon et la silhouette de ma tante avec son chemisier léger présageait d’une soirée douce et romantique. Après avoir déposé deux flutes sur la table basse, elle me sollicita pour aller chercher la bouteille de champagne et comme convenu, m’interrogea quant à la tenue qu’elle devait porter. — Garde la veste que je t’ai offerte. — Bon, je vais me passer un peu de poudre dans ce cas. Ajouta-t-elle, surprise de rester ainsi. — Tu n’as pas saisi, tu ne gardes que la veste et tes escarpins. Lui précisai-je en me dirigeant vers la cuisine. — Ah non Patrick ! …je ne vais pas me balader à poil toute la soirée devant toi. S’insurgea-t-elle. — Véro, depuis hier, tu me répètes que je n’avais ...
    ... qu’à te dire comment je souhaiterais que tu t’habilles pour mon anniversaire. Et puis nous sommes tous les deux. Lui rétorquai-je. — Enfin ! Je veux bien céder à tous tes caprices, mais là tu exagères un peu ! Tu me fais chier, tu sais donc que j’ai horreur d’être à poil devant toi. Conclut-elle en utilisant des mots crus, victime de son énervement. Elle monta se changer, ou plutôt se déshabiller. La bouteille débouchée, je remplissai chaque flûte pour m’installer à nouveau dans le canapé. En entendant le claquement des talons dans l’escalier, j’attendais en piaffant d’impatience, pour savoir dans quelle toilette ma tante allait se présenter. Présente dans le salon, elle arborait sa veste, bien boutonnée avec ses chaussures à talons. Ainsi, je fus dans l’incapacité de savoir si elle portait une culotte ou pas. Bien joué pensai-je sur le coup, tout en restant admiratif de ma belle quadra aux jambes sans fin bien serrées. Elle avait dans les mains son petit paquet qu’elle me remit. Je le déballai pour me parfumer dans le cou, lui précisant que j’allais la remercier en me levant. Véro n’eut pas d’autre alternative que de faire de même et se mit debout face à moi, le verre dans la main. — Bon anniversaire Patrick et tu sens très bon ! S’exclama-t-elle en tendant sa flûte pour trinquer. — Merci ma Véro, alors je vais aussi te parfumer et il paraît que ca porte bonheur. En trempant mon doigt dans le champagne, pour en déposer une goutte derrière chacune de ses oreilles. — Oh quelle ...
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