1. Une soirée ordinaire...


    Datte: 21/06/2020, Catégories: fh, fhh, couple, extraoffre, inconnu, nympho, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, hdanus,

    La voix est douce mais inflexible. — Tourne-toi… Penche-toi en avant… Écarte les jambes… Ouvre toi… Elle s’est penchée, les jambes tendues, écartées. Elle me regarde par dessus son épaule. Ses deux mains s’emparent de ses fesses qu’elle écarte. Ses doigts rampent comme des crabes vers l’intérieur du sillon. Ils atteignent les grandes lèvres, s’en saisissent et tirent dessus. Un papillon rose ouvre ses ailes. Au centre, une proéminence rebondie marque l’entrée du temple. J’aime la voir soumise. Cette indécence ne lui est pas naturelle. Je la force et elle se sent forcée. Mais pour moi, elle accepte tout. Elle sait que je l’aime ainsi. Je veux qu’elle se voie dans ces positions provocantes. Le caméscope tourne, il sera le témoin de nos débauches. Mais je veux aussi qu’elle puisse se voir dans la grande glace en train de faire ce que je lui ordonne. Çà lui donne un drôle de regard humide, un regard de chienne battue, un air penaud comme un enfant qui a commis une grosse bêtise. — Contracte-toi… L’orifice disparaît, puis se dilate, disparaît encore… Le mouvement de succion est obscène. On dirait la vulve d’une jument en chaleur. Dans l’obscurité je dirige le faisceau de la lampe au centre de l’arche que forment ses cuisses. Le halo dissèque dans l’obscurité une cible. En son centre, la grotte est luisante de rosée. Elle perle de ses parois. Des reflets irisés jouent du rose pale, au violet, en passant par toutes les nuances de la nacre. — Cambre-toi! Sa tête disparaît derrière ...
    ... ses fesses rebondies. Une motte velue, fendue en son milieu, dévoile un bourgeon gros comme un gland. J’adore ces deux coussins charnus qui bordent sa fente. On les devine sous les poils qui en accusent encore le volume. Des babines mobiles destinées à m’envelopper! — Plie les genoux… À genoux…Baisse la tête… Remue ton cul, tu m’excites… Elle ondule de la croupe, mais sans appui, c’est tout son corps qu’elle secoue. Le mouvement accuse encore l’inconvenance de sa position. Son corps projette des ombres changeantes sur les murs de la pièce. Elle est provocante ainsi, mes yeux la touche adressant dans tout mon corps de longues décharges électriques qui toutes convergent en un seul point. C’est comme si mon regard me ressortait par la bite. — Garde les cuisses ouvertes… Ne te touche pas… Tu te toucheras quand je te le dirai… Tourne-toi, je veux voir tes yeux… Regarde-moi… Elle effectue un lent demi-tour malhabile pour me faire face. Ses yeux brillent d’un éclat intense. Les pupilles dilatées sont deux trous ouverts sur le néant. Pour un peu je pourrais voir les images mentales qui se dessinent dans son cerveau. — Non… je n’ai pas dit de retirer tes mains… Reste ouverte… Redresse-toi! Mets la tête en arrière… Montre-moi tes seins… Elle me tend sa poitrine, fesses et bras en arrière. — Fais les bouger… En deux, trois torsions du buste, elle agite ses loches de gauche à droite. Ses mamelons dressés mettent un certain temps à se stabiliser. J’aime voir bouger ses seins. Quand ils ...
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