13 déclics pour une nouvelle vie (1)
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
Transexuels
... décharges électriques dans mon bas-ventre, de plus en plus intenses. Je sens du liquide couler de mon sexe, quelques gouttes venant se jeter sur mes cuisses, alors que je suis toujours face contre le mur, quand soudain… le black-out total ! Un flash blanc, durant une seconde ou deux, mes jambes qui chancellent et… « Ouiiiiiii ! — Salope ! Tu jouis du cul ! » Je me retrouve au sol, mes jambes m’ayant complètement lâché. Je reprends peu à peu mes esprits, assis sur le sol, et je vois mon mâle, debout devant moi, se masturbant. « Finis-moi petite chienne ! » Et me prenant par les cheveux, il me redresse, à genoux, et enfonce sa queue dans ma bouche. Vu la dureté de son sexe qui demeure intacte, je devine qu’il n’en a pas fini avec moi. Encore tout déboussolé par ce qui vient de m’arriver, je m’atèle à lui prodiguer une bonne fellation. Pas facile lorsque l’on vient de connaître, pour la première fois de sa vie, un violent orgasme. Mais je me sens investi d’une mission : celle d’être la meilleure chienne possible pour mon homme. Alors je ne ménage pas mes efforts, je me dresse sur mes genoux que la moquette commence à brûler sous l’effet des frottements, mais qu’importe !… je suce et j’entends bien faire cela comme une pro ! Quelques coups de langue le long de sa queue, avant de vite me rendre compte que nous n’en sommes plus là. Les préliminaires sont terminés depuis longtemps, et mon mâle attend autre chose de moi. Alors je mets de côté le peu de fierté qu’il me reste, et je ...
... fais de ma bouche et ma gorge, une chatte toute chaude et humide. J’agrippe les fesses de mon partenaire, et d’une pression soudaine, j’enfonce sa queue le plus profondément possible. Je multiplie alors les allers-retours, mon visage venant violemment s’écraser sur son pubis. Je sens vraiment ma gorge s’écarter à chaque incursion de sa queue épaisse. De nouveau ses larmes qui coulent de mes yeux… mais toujours ce plaisir d’être à la merci d’un homme qui a définitivement mis de côté toute forme de respect à mon égard. Toujours cette main agrippant et tirant sans retenue sur mes cheveux, comme pour me dicter un rythme toujours plus effréné. Toujours ces gifles, d’abord douces comme si mon homme prenait plaisir à simuler une situation de domination, mais finalement de plus en plus appuyées et douloureuses. Et toujours ces insultes qui pleuvent à foison : « Prends ça, salope ! Espèce de pompe à bite ! Tu n’es qu’une pauvre lope ! enchaîne-t-il entre deux respirations de plus en plus rapprochées, au rythme de ce qui semble alors être un ‘sprint final’. Après ton gros cul, tu aimes te faire défoncer la bouche comme un vulgaire vide-couilles !… — Oh oui j’adore ça. Je suis votre… euh… vide-couilles, lui répété-je simplement, mon imagination très limitée, il est vrai, par mon manque d’expérience et par une situation qui me dépasse totalement. Faites de moi ce que vous voulez ! » VLAN !!… Une énorme gifle s’abat alors sur ma joue gauche. Je m’effondre alors à plat ventre, avant qu’il me ...