1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°874)


    Datte: 21/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... soirée ? - Oui ! Les deux esclaves et les deux soumises MDE seront les cadeaux de cette soirée. Les soumis pressentis pour avoir l'honneur de porter les nobles Initiales de Monsieur le Marquis feront une pyramide. Ils auront des branches d'arbres attachés sur eux pour faire un sapin. Ce sera un bon exercice d'équilibre et de force car ils devront rester d'eux même bras écartés et les nombreuses branches seront lourdes à porter ! - Bien, bien, bien... J'espère que tu les as bien entraînés ! Il ne faudrait pas qu'ils gâchent la soirée du réveillon de Noël ! Monsieur le Marquis ne nous le pardonnerait pas. - Évidemment ! Cela a même fait partie des tests pour trouver les plus méritants. Monsieur le Marquis choisira peut être de les honorer de Ses Initiales pour le matin de Noël, qui sait ? Bien je dois te laisser, j'ai encore pas mal de travail pour les préparatifs du réveillon. N'oublie pas de renvoyer la chienne à la brosse à dent à temps pour son travail. Si la pièce n'est pas récurée à l'heure, je te laisserai te charger de la punition ce soir à lui infliger sans modération, rajouta-t-il avec un clin d'œil. - Hummm, alors j'espère qu'elle n'aura pas fini ! Dit Marie en riant et se frottant les mains, avec une pointe de sadisme et une flagrante perversité Je me sentis terrifiée à cette idée. Je n'avais aucun moyen de savoir l'heure qu'il était ni combien de temps il me restait pour accomplir ma tâche. Alors je m'activais de toutes mes forces et accélérais au maximum. J'avais ...
    ... les muscles douloureux tant par la position à quatre pattes prolongée que par la tension due au mouvement de frottement et au stress de ne pas finir dans les temps. Lorsque j'atteignis la moitié de la pièce, j’entendis quelque part une horloge sonner huit heures. Il me restait donc une heure pour terminer. J'étais en sueur et la fatigue commençait à se faire sentir ! J’avais mis moins d'une heure pour en arriver là. Je décidais donc de faire une pause d'une ou deux minutes pour souffler un peu, après m'être assurée que la cuisinière n'était pas dans mon champ de vision. Je m'assis donc en tailleur et commença à prendre une profonde inspiration. Mais j'eus le souffle coupé quand je sentis un violent coup de martinet dans mon dos. - Eh bien, crois-tu qu'une chienne de ton espèce soit ici pour se reposer ? Position prosternée ! Exécution ! Je me précipitais au sol, allongeant les bras au maximum, écartant les cuisses. Je reçus une dizaine de coup de martinet sur ma croupe et autant sur mon dos. Je serrais les dents au maximum, mais on aurait dit que Marie voulait à toute force me faire hurler, ce que je finis par faire, arrivée au quinzième coup, ne tenant plus. - Une feignante et une geignarde en plus ! Cela va être un régal de te dresser la salope ! A force de crier, tu n'auras plus de voix et tu apprendras à fermer ta petite gueule de chienne ! Maintenant au travail et dépêche-toi ! Tu voulais arrêter pour faire une pause, tu l'as eu. Allez, active-toi ! Malgré la douleur, je ...