Les amis de Jean-Claude (1)
Datte: 22/06/2020,
Catégories:
Gay
Je vous ai déjà parlé de mon copain, C’est un vieux (presque vingt ans de plus que moi) que j’ai connu dans un sex-shop, du temps où je les fréquentais. C’est une tarlouze finie, qui suce et se fait mettre à volonté, à la vue de tous. Dès notre première rencontre, il m’a proposé de me recevoir chez lui. On s’est fait de nombreuses baises, mais cela fait un bon moment que je ne le vois plus. Je suis seul chez moi, je me branle devant un film gay, j’ai gardé son numéro, et je l’appelle: — Allo, Jean-Claude! — Oui. — Bonjour, c’est Eric, tu te souviens de moi? — Ah, Eric, oui bien sûr, salut. Mais ça fait longtemps dis moi! — Oui, plus d’un an je pense. Je suis en manque et je pense à toi. Tu aimes toujours la queue? — Oh oui, je l’aimerais jusqu’à mon dernier jour. — Je peux venir te voir demain? — Attends, je regarde mon agenda. .................. Ok, je suis libre, tu peux venir à partir de quinze heures, pas avant, je fais la sieste. — Ok, ça marche, je serais là. Bisous mon chéri, à demain. — A demain mon amant, bisous. Je suis chez lui à l’heure prévue, et on s’empresse d’aller à sa chambre. On se défringue, on s’installe sur le lit et il m’embouche. — Hum, oh putain que c’est bon, tu pompes toujours aussi bien ma salope. J’en ai connu des trainées, mais tu es la meilleure de toutes, la reine des suceuses. — Salaud, tu es toujours aussi pervers. J’aime ton regard cochon, j’aime tes mots orduriers, vas-y, insulte moi, fais toi plaisir, tu sais que j’aime ça, surtout si ça ...
... te fait encore plus bander. — Mais je ne t’insulte pas ma salope, je te dis juste ta vérité. Tu es une vicieuse, une chienne, une sous-merde. — Salaud, c’est bon comme tu me parles. Tu l’aimes la bouche de ta pute? — Oui, je te l’ai dit, tu es la meilleure. Bon, maintenant tu la fermes et tu suces. Il se soumet et me pompe en continu durant de longues minutes. Je m’efforce de me contrôler pour ne pas gicler trop vite, j’essaie de penser à autre chose que sa bouche divine. Un bon moment qu’il me turlute et je n’en peux plus. J’explose dans sa bouche en un feu d’artifice qui n’en finit plus. Quand ma bite s’est calmée, il se dégage et exhibe sa bouche pleine de mon sperme. On se roule une pelle et on salive tant que l’on peut. Nos lèvres se dessoudent et on a chacun la gueule farcie de nos jus mélangés. Il avale tout, je recrache mon contenu dans sa bouche, et il avale encore. On a tout notre temps, et on se fait un câlin, le temps que je reprenne des forces pour l’enculer. Il me raconte ses aventures, hélas de moins en moins nombreuses. Il a près de quatre-vingts ans, et n’est plus aussi fringant qu’il y a quelques années. Il se déplace rarement au sex-shop, mais il lui reste trois habitués qui lui rendent visite; autant dire que ma venue est un bonheur pour lui. Un de ses visiteurs, est un homme de quarante-cinq ans, un routier, de passage tous les quinze jours. Il lui fait penser à moi, est aussi vicieux, a les mêmes goûts. Il aime se farcir des lopettes, mais aime bien sucer ...