1. Entrées


    Datte: 22/06/2020, Catégories: fhh, couleurs, inconnu, grossexe, vacances, forêt, fsoumise, soubrette, strip, préservati, Partouze / Groupe fsodo, sm, attache, baillon, yeuxbandés,

    ... dépassant largement le nombril. Elle a gagné. Elle, la blanche, par la seule maîtrise de la Mapouka, a réussi à faire dresser ce pieu pourtant habitué à ces pratiques ancestrales. L’homme la stoppe d’un geste. Il ne parle pas. Son sexe parle pour lui. Toute femme se doit de répondre à l’appel de la nature. Elle hésite. C’est une chose de faire bander, même le plus aguerri des hommes, c’en est une autre de le satisfaire, surtout avec cet outil que la nature lui a confié. Mais si, elle se lance ! Elle tombe à genoux devant cette verge tendue et essaye d’engloutir le gland dans sa bouche pendant que sa main peine à en faire le tour. Malgré toute sa bonne volonté, elle n’a pas la bouche d’Awa, ses lèvres ne peuvent aller plus loin. Elle ne peut que lécher ce bâton, oui cette baguette dont parlait ma maîtresse, de haut en bas, insistant sur les couilles, elles aussi monstrueuses. Le Maître apprécie ces marques de soumission et comme tout homme, gémit de plaisir. Elle s’applique. Le sexe brille maintenant de salive. Elle n’hésite pas à cracher sur le gland pour étaler de la langue le liquide. Elle sait ce qui l’attend et doit penser que cela va faciliter la possession. Elle m’étonne et me surprend. Peut-être que je n’ai pas été à la hauteur avec elle ? Peut-être aurais-je dû en parler ? Quel gâchis ! L’homme la fait se relever. D’un geste il fait glisser un préservatif sur son sexe. Il est si grand et si fort qu’il soulève Chloé par les hanches pour l’amener sur lui, les jambes ...
    ... écartées de chaque côté des siennes. Il suce ses seins avec passion et fait descendre lentement ma femme pour la pénétrer. Je ne peux me retenir de m’approcher pour regarder. Le gland écarte les petites lèvres. Ce n’est pas possible, il va la déchirer, elle va hurler. Mais non, elle ne crie pas sous la pression de ce monstre qui écarte les chairs humides et continue lentement la progression. Elle aussi regarde ce mandrin avancer en elle, doucement, doucement puis s’arrêter, touchant le fond du vagin. À peine la moitié de la bite est entrée, le reste est à la porte. C’est à elle de jouer. Elle monte et descend sur le pieu, gémissante, la chatte en feu. La position est inconfortable, ses jambes fatiguent. Il se lève, sa bite encore en elle et l’allonge sur la table. Le rythme change, le doux va-et-vient se transforme en possession violente et brutale. Il la baise, la défonce. Elle crie. De douleur ? De plaisir ? La bite d’enfonce de plus en plus loin. Bientôt elle disparaît entièrement, les petites lèvres collées au membre comme si elles ne voulaient pas le laisser s’échapper. — Alors, petite blanche, tu aimes ma leçon. Je continue ou j’arrête ? Mais Chloé ne répond pas. Sa tête se balance comme si elle ne pouvait plus se contrôler. Il sourit. Il nous sourit, arborant cette fierté du mâle qui possède. Lui, par contre se retire lentement de ma femme. Son sexe n’en finit pas. Mais comment peut-elle recevoir cette masse de chair ? Il est dehors, mais attend. Quelques secondes et ...
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