1. Pirates et captives - 7


    Datte: 23/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mangent et boivent goulûment. Elles ont des chemises courtes, comme moi, mais nettement moins propres. Elles ont aussi toutes des colliers en fer et des anneaux aux poignets et aux chevilles. Le Noir les surveille, armé d'un grand fouet. Quand elles ont fini, la servante me dit: "Je vais te montrer ce qu'il faut faire." Elle va chercher deux colliers avec des pointes de fer au bout desquels il y a une clochette. "C’est pour les deux filles qui ont essayé de s'enfuir, elles seront attachées la nuit. Avec les clochettes, on sait toujours où elles sont." Ça doit être pénible! De plus, il est impossible de vraiment s’allonger pour se reposer un peu... Elle place ces colliers aux filles qui se mettent aussitôt à tinter! Et il y a pire, elle prend trois armatures de fer, des sortes de cages, qu'elle place sur la tête de trois autres filles. "Elles ont parlé ou répondu à l'homme qui les loue", m’explique la servante. Ces armatures sont dotées d'une grosse tige qui rentre dans la bouche! Plus moyen de parler! Ça doit être très désagréable. Les filles font la grimace! Des hommes et des femmes viennent chercher des filles. Ils les louent à la journée, pour des travaux divers ou pour des tavernes moins importantes. Ils ont tous les droits sur ces malheureuses, sauf celui de les abîmer. Les fouetter oui, bien sûr, mais sans causer des blessures. Normal, c'est comme si on louait un cheval ou une mule, il faut aussi les rendre en bon état. Quand toutes les filles ont été réservées, on ...
    ... retourne dans la taverne. Je prends la ferme résolution de ne pas m'enfuir. Les clochettes, non merci! Je continue à servir les clients. Souad attend les Françaises. J'ai entendu le capitaine et Wilson en parler hier. Il s'agit d'aristocrates qui reviennent des Caraïbes où leur famille a des plantations de canne à sucre. Le capitaine les a achetées pour la taverne. Une Princesse et des aristocrates, la taverne va devenir l'endroit le plus classe de la petite république... d'après Souad. En fin de matinée, on voit arriver des hommes avec ces trois femmes. Elles sont reliées entre elles par une chaîne qui va d'un collier en fer à l'autre. Elles ont de belles robes, mais déchirées et sales. Ces trois prisonnières se ressemblent fort, surtout les deux sœurs. Elles peuvent avoir 18, 20 ans. La mère est sans doute proche de la quarantaine. Elle a dû les avoir jeune. Je me souviens de l'état dans lequel j'étais, au début de ma captivité, donc je comprends leurs larmes et leur désarroi. Une des sœurs se blottit contre sa mère, l'autre reste un peu en retrait. Un des hommes dit quelque chose d'incompréhensible, pour moi, mais en tout cas, ça fait rire les autres. Ici, ils parlent différentes langues, dont la "lingua franca", mélange d'espagnol, d'arabe, de français... "Détachez-les" ordonne Souad. Quand on leur enlève leur collier de fer, elles ont une belle marque rouge sur le cou. Je suis contente de n'avoir qu'un collier de cuir. Souad leur jette: "Déshabillez-vous!" Elles hésitent. ...