1. Soirée à trois


    Datte: 24/06/2020, Catégories: fh, fhh, frousses, grosseins, fépilée, photofilm, Masturbation intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    C’est samedi soir ; il est vingt-et-une heures, et je rentre du boulot. Comme souvent, ma femme m’attend patiemment à la maison après sa journée, sûrement en train de jouer à un jeu en ligne ou de surfer en écoutant de la musique. Je pousse la porte d’entrée de notre petit immeuble de banlieue dans une cité-dortoir sans prétention. L’air frais est empli de différentes musiques. Mais pour une fois, c’est de mon appartement que la musique sort le plus fort : des tubes des années 80 ; mais après tout, c’est samedi, et à cette heure-là, c’est pop kitsch sur la 177. J’ouvre la porte en fredonnant un air de disco, j’arrive enfin chez moi. Un couloir où trône un meuble à chaussures dans lequel je range les miennes, puis je remarque une paire inconnue : des baskets de marque. Je referme le placard et poursuis mon chemin. Un guéridon avec un vase et des fleurs artificielles, un téléphone, décroché. Un grand placard dans lequel je range ma veste. Je retrouve une veste que je ne connais pas, puis mes yeux descendent pour voir un peu le bazar que je vais devoir ranger ce week-end ; mais là, je trouve un jean laissé en plan, poussé contre les cartons. Curieux, je regarde donc ce pantalon, appartenant clairement à un homme : ma femme n’était donc pas seule ce soir… Amusé, je prends mon temps et passe par la cuisine ; en rentrant à la maison, il me faut toujours un café. À ma grande surprise, je trouve le café déjà fait et toujours en train de chauffer, un petit mot devant ma tasse et ...
    ... l’appareil photo numérique. En me servant, je lis le mot de ma femme m’invitant à me servir et à boire en regardant le contenu de l’appareil. Étant un homme bien élevé et obéissant – mais surtout friand de café et curieux – je m’exécute, m’asseyant à la table de notre cuisine. Alors que la musique va toujours bon train, je sirote ma boisson en regardant les photos. Je la vois, ma belle rousse à la peau blanche, des yeux bleus malicieux et un sourire enjôleur, vêtue d’une petite robe rouge décolletée et échancrée dans le dos, ses longs cheveux flamboyants tombant jusque sous ses omoplates. Sa généreuse poitrine retenue dans un petit soutien-gorge rouge à dentelle noire, exagérant encore un peu plus le décolleté dans lequel je me perds avant de passer à la photo suivante. Je la connais joueuse, coquine et perverse ; mais là, celle-là me surprend tellement que j’en avale mon café de travers : elle se tient devant la glace, la robe sur les hanches et son petit ventre, ses quelques formes rajoutant à son charme et ses courbes généreuses ; elle exhibe fièrement ses longues jambes, mais surtout son entrejambe, fraîchement rasé de près et l’absence de dessous. Cette vue sur son sexe ainsi exhibé et sa robe mettant en valeur sa délicieuse poitrine m’excite. Elle s’est faite belle et coquine pour sortir, et cela ne fait qu’attiser ma curiosité. Je continue donc. La suivante me montre enfin qui est son invité : un homme, la trentaine. Un grand brun vêtu de la veste que je reconnais, et du ...
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