1. Une soirée particulière...


    Datte: 24/06/2020, Catégories: fplusag, Oral préservati, pénétratio, fsodo,

    L’histoire que je vais raconter est tout à fait authentique et s’est déroulée il y a une dizaine. Seuls les prénoms ont été changés par souci de discrétion. Je m’appelle Mathieu, je suis assez athlétique (1 m 84), très peu pileux et ai toujours aimé la compagnie de femmes mûres. Je ne sais pas pourquoi mais elles m’ont toujours fortement attiré. En 2003, je venais d’être embauché dans une collectivité locale du centre de la France. Nouvel arrivant je me suis retrouvé au milieu de nombreuses femmes plus âgées que moi et quelques hommes… également plus âgés. Je me suis très vite intégré dans ce nouvel environnement professionnel et pour cause, tous les jours nous prenions une longue pause café tous ensemble. J’avais remarqué parmi mes collègues une femme très attirante, brune, volubile avec une poitrine très généreuse. Elle s’appelait Sophie, avait 44 ans, divorcée et était chef de service. À en juger par le regard des autres hommes, nul ne pouvait ignorer qu’elle était vraiment séduisante. Elle jouait d’ailleurs beaucoup de ses atouts. Petit à petit nous avons sympathisé et le rendez-vous du café était devenu pour moi inévitable. J’attendais ce moment avec impatience pour pouvoir bavarder avec elle et pour pouvoir également, il faut bien le dire, la déshabiller du regard. Elle était toujours vêtue avec goût et portait souvent des jupes moulantes et des dessus assortis qui mettaient sa forte poitrine en valeur. De jour en jour mes pensées ont commencé à divaguer et il me ...
    ... fallait l’avouer, elle m’excitait énormément. Un jour, après la traditionnelle pause, je décidai de lui proposer de venir goûter un vin (sachant qu’elle était amatrice). Elle me répondit qu’éventuellement elle serait intéressée mais ne donna pas suite. Je fus assez déçu de sa réaction… Environ une semaine s’écoula quand, un lundi soir, alors que j’étais tranquillement installé dans mon studio le téléphone retentit. C’était Sylvie qui me demandait si l’invitation tenait toujours. Je lui répondis bien entendu que oui. Elle me demanda alors : — Ce soir c’est possible ?— Heu… oui, bien sûr !— OK, je passe à 20 h 00. Bisous. J’étais un peu décontenancé mais me ressaisis immédiatement, rangeai mon appartement, pris une bonne douche et dressai un petit apéritif dans une lumière tamisée. Avec ½ heure de retard elle arriva. Je fus très agréablement surpris de la voir dans une tenue que je ne lui connaissais pas. Elle portait une jupe noire, fendue, un chemisier blanc très moulant et était chaussée d’escarpins noirs à talons très hauts. Elle prit place sur mon petit canapé, ce qui eut pour effet de faire remonter sa jupe très haut. Je m’obligeai à ne pas trop regarder ce spectacle qui aurait pu me trahir dès le début de la soirée. Nous dégustâmes aux ¾ une bonne bouteille de Morey St-Denis, ce qui eut pour effet de détendre franchement l’atmosphère. Elle avait le rose aux joues. Elle s’excusa, partit aux toilettes « se refaire une beauté » et revint quelques instants après. Non, je n’avais ...
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