1. Quand la chair s'éveille (14)


    Datte: 25/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... partouzez à trois ? – Si on veut. – J’espère que ce n’est pas comme le bridge, vous n’avez pas besoin d’un participant pour faire le mort. – Non, tout baigne. Fuji fait des entraînements à mère pour parfaire sa technique amoureuse. – Comment cela ? – Ce que tu ne sais pas, grand-mère, c’est que la mère de Fuji était une geisha-samouraïs et avant que Fuji ne parte pour l’Europe, elle lui a fait de nombreux entraînements professionnels. – J’aimerai bien voir ça pour mourir un peu moins idiote. – Grand-mère quand même… – Mais oui, invite-la, suggère Fuji, permettez que je vous appelle aussi grand-mère, j’ai perdu la mienne depuis si longtemps. À ce moment-là, le grand-père lui annonce qu’il devra peut-être dans la semaine, s’occuper d’une jeune gitane, (pas papier maïs) qui doit se marier bientôt, mais que cela risque de poser des problèmes avec sa famille. La fille qui a discuté avec Hortensia, est assez d’accord, mais le fiancé pas trop. – Comme ce sont des gens assez ombrageux, si tu ne veux pas, je comprendrais. – Convoque-les, les deux, je verrai directement avec les intéressés. Mais dis-moi, qu’est-ce qu’ils encourent s’ils ne sont pas d’accord et qu’ils refusent ? – En tous cas, l’expulsion de mes terres pour toute la famille et surtout ma protection vis-à-vis de l’église, ils ne sont pas catholiques. Même si l’inquisition est morte, l’esprit reste. À ces mots, Fuji ouvre des yeux d’étonnement. – Mais c’est encore le Moyen Âge ! On se croirait au Japon sous Tokugawa ...
    ... quand il a banni les Chrétiens. – C’est plus compliqué que cela parait, si je montre un signe de faiblesse, mes droits et mes terres risquent bien de m’être retirés pour être attribués à bien pire que moi et de ce fait je priverais mon petit-fils de son héritage et mes administrés d’un marquis bien-veillant. … Du reste qu’est-ce qui est arrivé à ceux qui n’ont pas suivi Tokugawa. Le lendemain matin, deux jeunes gens se présentent au château. Ramon les invite à la discussion et expliquent ce que eux et leur famille risque. Il leur dit encore que ce n’est pas lui qui impose cette tradition, mais pas moyen d’y échapper. – C’est une question d’honneur, je te défie en duel au couteau. – Je te comprends, viens demain avec tes témoins, je ne suis pas trop habitué au couteau, mais on fera avec. Le soir, c’est conseil de guerre, – Fuji, est-ce que tu as de l’expérience avec les combats au couteau ? – C’est une des premières choses qu’on apprend dans l’art martial des Geisha-Samouraïs. Surtout la défense contre une attaque au couteau, quand on en a pas, mais également l’attaque. – Viens dans la pièce d’entraînement, on va prendre d’abord des couteaux en bois pour que je m’entraîne. Avec Jean, on a un peu négligé ce côté de l’entraînement. Toute la soirée, c’est esquive, contre-attaque, ré-esquive etc. En allant se coucher, il a l’impression qu’il est au point. Le lendemain, arrive son opposant, avec un couteau de bonne dimension dans chaque main. qotqmmwp « Aïe, je n’avais pas prévu ceci, ...