vacance avec mon maître (6)
Datte: 25/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... aux ouvriers. L’homme prend un talkie-walkie et parle. Je ne connais pas cette langue, c’est une langue de pays de l’est, pourtant l’homme n’a aucun accent quand il parle en français. L’homme se retourne vers moi, me regarde : Mets-toi à poil, monte sur la table à quatre pattes, ton cul vers la porte. Je veux qu’ils aient une belle vue quand ils vont rentrer. Cela fait trois mois qu’ils sont ici, trois mois qu’ils n’ont pas baisé, alors tu penses bien que baiser une femelle, ils n’attendent que cela. Vingt gaillards en manque, rien que pour toi. Quand ils en auront fini avec toi, tu ne pourras plus t’asseoir. L’homme éclate de rire. A ce moment, son portable sonne. — Oui, bonjour. Oui, j’ai trouvé votre femelle qui traînait. — …. — Pas de souci, je vous la garde. Vous passerez la prendre ou je vous la ramène ? — …. — Bien, je vous la ramène quand je veux. Très bien. — .... — Hum, elle doit être bonne oui. — .. — Je vous la passe. Il tend le portable à Justine. Celle-ci écoute et répond : bien maître et redonne le portable. L’homme dit à Justine de se mettre à genoux, bouche ouverte. Je suis à quatre pattes sur la table, il y a une glace devant moi, je peux voir la porte. L’homme prend un panier et le pose à coté de moi sur la table. Il est plein de capote. Nous sommes en position, en attente. L’homme s’est assis et allume une cigarette. La porte s’ouvre. J’aperçois des têtes, les corps sont luisants de sueurs. Le travail au soleil donne chaud. Un sifflement accompagne leurs ...
... entrées. L’homme parle. Les ouvriers écoutent, opinent de la tête. Un se déboutonne et se tourne vers Justine. Il lui enfonce sa queue dans la bouche. Elle fait une grimace et commence à sucer l’homme. Un autre se positionne derrière moi. Il prend une capote. Je sens sa queue rentrer doucement dans mon vide couille. Elle est épaisse et pas très longue. Il me besogne fortement. Ses cuisses tapent sur mon cul. Il éjacule très vite. Il se retire, un autre le remplace. Sa queue est plus fine, il éjacule pratiquement tout de suite, une autre vient. J’entends des rires, des râles. L’homme dit quelque chose. Tout le monde se met à rire. Les ouvriers se succèdent, mon vide couille est constamment rempli. Justine suce. A un moment, je sens une queue forcer mon anus. Elle rentre en une seule fois. Je suis baisée et enculée, je vois les regards des hommes, ils ont encore envie. Ils sont jeunes et vigoureux. Le panier de capotes est à moitié vide. Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut être. J’ai juste mal aux genoux. A aucun moment cela ne s’est arrêté. J’ai toujours une queue dans un de mes trous. Le panier est vide, mon vide couille est irrité, mon anus béant. Ma bouche n’a pas été utilisée. Les ouvriers repartent. L’homme ferme la porte, se déboutonne et me donne sa queue à sucer. Le spectacle a dû l’exciter, il éjacule tout de suite. Je me rhabille, Justine s’essuie la bouche. L’homme nous ramène au gîte. Il nous dépose à l’entrée et repart immédiatement. Je regarde Justine : — Ca ...