1. Qui t'a fait jouir ? Ton mari, ou un inconnu ?


    Datte: 25/06/2020, Catégories: fhh, plage, amour, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, jeu, attache,

    Tout est parti d’un article, qui semblait anodin, publié dans un journal féminin l’été dernier : une femme disait être allée se coucher seule lors d’une soirée où elle avait un peu trop bu, été rejointe par un homme, et avoir accepté dans un semi-sommeil qu’il lui fasse l’amour, avant de se rendre compte après qu’il ne s’agissait pas de son mari ! Moi, ce témoignage me paraissait plausible. Ma femme a éclaté de rire en me disant que j’étais bien un homme pour croire à de telles élucubrations, qu’une femme reconnaissait son mari à mille détails durant l’amour, et qu’il lui était impossible de se tromper, même s’il ne s’agissait que d’un cunnilingus… Réflexion faite, elle avait sans doute raison. J’avais été naïf de croire en la véracité de ce témoignage. Mais parce qu’il n’est jamais agréable d’avoir tort, j’ai quand même mis en doute la capacité d’une femme à reconnaître son mari lors d’un cunnilingus, s’il n’est pas de paroles échangées entre eux, et d’autre contact physique que celui d’une bouche et d’un sexe. C’était peut-être de ma part une réaction de fierté mal placée. Après tout, je suis mal placé pour en juger… Mais d’un autre côté, ma femme a un défaut : elle est souvent trop sûre d’elle. Elle a insisté, affirmant qu’il existait une mémoire des corps, qu’elle connaissait parfaitement ma manière de la caresser après tant d’années passées ensemble, et qu’elle distinguerait forcément s’il s’agissait d’un autre homme, même dans le noir, sans paroles et sans autre contact ...
    ... physique. La soirée était douce, les enfants couchés. Nous étions seuls dans le jardin de notre maison de vacances. La discussion a tourné au jeu, car nous étions en désaccord, chacun cherchant à convaincre l’autre. Elle m’opposait toujours le même argument : elle était femme, moi pas, donc elle savait ce dont elle parlait tandis que moi je l’ignorais… Alors, pour briser son assurance, j’ai voulu la provoquer : — Nous faisons une fête à la maison dans trois jours, comme chaque été, avec une vingtaine d’invités. Si, en cours de soirée, tu t’éclipsais dans notre chambre… si je te mettais nue sur le lit, avec un foulard sur les yeux, la lumière éteinte, les mains attachées dans le dos pour que ne tu ne puisses pas toucher l’homme qui viendra te faire un cunnilingus, tu serais incapable de me dire ensuite si c’était moi ou l’un des invités. Elle a réfléchi un moment avant de me répondre : — Non, je connais tes mains, ton odeur, ta manière de me caresser, la peau de ton visage. Je saurai si c’est toi. Elle avait quand l’air moins affirmative. J’ai voulu pousser mon avantage : — OK, tentons l’expérience ! Tu es jolie femme. Je connais suffisament bien plusieurs des hommes invités pour proposer ce jeu à l’un d’eux, et savoir qu’il ne refusera pas. Mais ce sera peut-être moi qui entrera dans la chambre. Ce sera ensuite à toi de me le dire. Une nouvelle fois, elle a réfléchi un moment. Elle me regardait, amusée et m’a dit : — D’accord. Mais je te préviens : tu vas perdre ! Je tiens à ...
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