1. Au ski


    Datte: 26/06/2020, Catégories: Hardcore, Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... Je demandais même que ça. Seulement…– Seulement, il y a le bandeau ! Que tu peux pas arracher. T’as pas tes mains. Oh, mais ça fait rien ! Je vais te raconter à la place. Ce sera pareil. Bon, alors là, on se désape. Toutes les trois. T’entends ?J’entendais, oui ! Des crissements de fermeture éclair. Des glissements soyeux.– Laquelle tu veux d’abord ? Dorothée, évidemment, ça, je l’aurais parié ! Ça tombe bien. Elle est à poil. Ah, elle te plaît, Dorothée, hein ! Elle t’excite. Menteur ! Tu crois qu’on te voit pas lui mater les nénés, comme un meurt-de-faim, dès qu’on a le dos tourné. Et pas que les nénés. Les fesses aussi. C’est plus fort que toi, tu peux pas t’empêcher. Et maintenant son petit minou, tu l’as là, tout près, à portée de main. À vingt centimètres, même pas. Le rêve, non ? Tu l’imagines comment ? Dis-nous ! Tout lisse, j’parie ! Sans plus rien dessus. Ah, t’es bien un mec, va ! Et t’as tout faux. Parce qu’elle se l’est laissé sous abri. Sauf qu’elle est tellement légère sa résille, toute fine, toute clairsemée, que c’est comme s’il y avait rien du tout, que tu vois sa délicieuse petite encoche à travers, amoureusement refermée sur ses trésors. Des trésors dont elle a décidé, à côté, tout à l’heure, de te laisser t’approcher de tout près. De très très près. T’as rien contre au moins ?J’ai failli m’étrangler.– Contre ? Ah, mais non ! Ah, mais non !Elles ont encore éclaté de rire.– Ben, voyons !Le lit a bougé. Dorothée m’a enjambé et est doucement venue déposer sa ...
    ... fleur d’amour sur ma bouche, ses deux cuisses bien calées contre mes joues. Je l’ai délicatement goûtée. Du bout des lèvres. Du bout de la langue. Effluves subtiles de senteurs marines. En-dessous, on est venu résolument s’emparer de mes tétons. Avec la main. Avec la bouche. On les agacés. On les a engloutis. Plus bas encore, des lèvres sont venues tournoyer autour de ma queue, en ont piqueté les faubourgs d’une multitude de petits baisers. J’ai doucement gémi. Je me suis enhardi, aventuré plus avant dans les anfractuosités veloutées de Dorothée. J’en ai voluptueusement aspiré les dentelures, bu les liqueurs, tandis que des dents entreprenaient de me mordiller savamment la peau des couilles. Sur toute la surface. Méthodiquement. Elles sont remontées, m’ont escaladé la bite jusqu’à son chapiteau qu’elles ont englouti. Dorothée ouverte, fluide, sous ma langue. Mes deux tétons savamment travaillés. Ma queue douillettement enveloppée. J’étais à leur merci. À elles trois. J’ai perdu complètement pied. J’ai haleté. Je me suis déversé. J’ai rugi, traversé, de part en part, par un plaisir comme jamais.– Eh ben, dis donc ! Faut pas t’en promettre à toi !– C’était qui en bas ?– Si on te le demande…Elles n’ont pas voulu me retirer le bandeau.– Non, parce qu’à notre tour de nous occuper les unes des autres maintenant. Ça nous a mis en appétit tout ça. Alors ouvre tout grand tes oreilles !– Mais…– Mais tu préfèrerais voir. Oui, ben ça, on se doute ! Sois pas si pressé ! On est là pour une ...
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