1. Nouveau départ pour une nouvelle vie (5)


    Datte: 04/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Samedi est enfin arrivé ! Cela fait maintenant plusieurs jours que Tristan attend ce moment avec impatience, souhaitant plus que jamais jouir d’une épilation définitive. Ce n’est pas anodin, car il ne sera pas possible de revenir en arrière, il faut vraiment être sûr de soi. Tristan y a longuement pensé ces derniers jours, mais il est bien décidé, car c’est aussi pour lui une façon de marquer clairement son changement de vie. Il est donc fermement décidé, alors que de nombreux hommes n’osent pas franchir le pas, même pour un simple rasage temporaire. Mais pour cela, il a dû laisser repousser ses poils, ce qui est nécessaire pour effectuer une épilation laser. Sa pilosité ne cesse de l’irriter, au sens propre comme au figuré, lui rappelant péniblement sa vie passée. C’est donc sans regrets, qu’il prend la route avec Arnaud, prêt à tirer un nouveau trait sur les cinq années moroses qui viennent de s’écouler. Après une demi-heure de trajet, les voici arrivés face à un bâtiment discret, situé à l’écart des habitations, quelque part au cœur de l’Aunis. On pourrait, au premier abord, en observant l’enseigne qui surplombe l’entrée, supposer qu’il s’agit d’une discothèque. Le grand parking laissant d’ailleurs supposer une forte affluence à certaines heures de la journée, ou plutôt de la nuit, car en cette heure matinale, il n’y a qu’une petite dizaine de voitures qui y sont stationnées. Une fois passée la porte d’entrée, il faut commencer par régler les droits d’entrée, toujours ...
    ... assez élevés pour les hommes seuls. L’on reçoit en échange un bracelet électronique qui permet de verrouiller le vestiaire et de régler les consommations et les diverses prestations proposées. Après un passage rapide par le vestiaire, il ne leur reste plus, pour tout vêtement, que la serviette qu’on leur a confié à l’accueil. De la même façon que dans un camp naturiste, ils doivent l’utiliser pour s’asseoir, mais ils peuvent également l’utiliser comme un paréo s’ils le souhaitent. C’est lorsqu’il sort des vestiaires que Tristan réalise soudain l’ampleur du complexe libertin discrètement caché dans ce bâtiment anodin. Il y a même un plan pour mieux s’orienter parmi les deux étages. C’est un peu comme un parc d’attraction, mais pas pour les enfants. Les activités y sont tellement nombreuses et variées, qu’il est tout à fait possible d’y passer une journée entière. Au centre, il y a une vaste agora, avec un bar, des chaises et des tables, puis une scène et des gradins. Tout autour, organisées comme autant de magasins d’un centre commercial, on trouve les différentes prestations proposées : sauna, hammam, piscine, jacuzzi et massage sur la gauche ; gadgets en tous genres, librairie et vidéo club sur la droite ; au fond, on peut deviner l’entrée de la discothèque. Et ce n’est pas tout, comme Arnaud le fait remarquer à son ami, cela continue encore au premier étage, un grand balcon fait le tour de l’agora et donne accès à autant de services qu’au rez-de-chaussée : un magasin de ...
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