1. Une étrange voisine (1)


    Datte: 26/06/2020, Catégories: Hétéro

    ... légèrement son minou de l’autre main. — Enlève ton pyjama, et viens me rejoindre, lança-t-elle. — Tu… tu n’éteins pas la lumière, bredouilla Simon, désarçonné. — Non, ce soir, je veux te voir, mon amour, et te montrer mon corps. Simon ne savait plus s’il devait se réjouir de cette transformation, ou être choqué. Il avait l’impression de se trouver face à une autre femme que celle qu’il avait épousée il y a quelques mois. Il enleva malgré tout son pyjama et se coucha à côté de Marie. Complètement déstabilisé, il ne bandait pas. Pas encore… — J’ai envie de tes mains partout sur moi, lui murmura-t-elle à l’oreille, en l’enlaçant tendrement. Comme il commençait à la caresser timidement, elle prit sa main, et la guida vers ses seins. Elle l’obligea à les serrer fort, pour lui en faire éprouver la fermeté, tournant elle-même entre ses doigts ses tétons pour les faire saillir, et lui montrer ce qu’elle attendait. La main de Marie descendit le long du ventre de Simon, et trouva sa queue, qui commençait à durcir et à se dresser. Tout en l’embrassant, elle fit durer longtemps cette caresse, jusqu’à ce qu’il bande comme un taureau, avant de lui demander à mi-voix: — Regarde mon minou, lui aussi a besoin que tu t’occupes de lui, que tu lui fasses des bisous. Simon se redressa sur un coude, et vit Marie, les cuisses largement ouvertes, écarter ses petites lèvres avec ses doigts, pour découvrir son petit bouton et l’entrée de sa grotte. Il fut submergé par le désir, et oublia sa réserve. ...
    ... Sa bouche descendit sur les seins de Marie, il les embrassa, mordilla les pointes, et glissa ses doigts dans sa fente. Il fut surpris de la trouver aussi trempée de cyprine, jamais elle n’avait mouillé comme ça. Marie le guida, pour qu’il fouille son minou tout en stimulant son clito, et elle se mit à gémir. Elle qui, d’habitude, réprimait même ses soupirs quand elle faisait l’amour, se mit à feuler comme une chienne en chaleur. Il fallut encore qu’elle le dirige, pour qu’il lèche et suce son petit bouton. Cette fois, elle poussa un petit cri aigu, lorsqu’il toucha le point sensible, et elle se mit à le branler. L’excitation leur fit oublier, à tous les deux, les restes de leur pudeur. — Baise-moi, prends-moi, supplia Marie. J’ai envie de ta grosse queue, remplis bien ma chatte. — Oui, mon amour, je vais te faire jouir comme jamais tu n’as joui! Elle s’aida de ses mains pour écarteler ses jambes au maximum, et offrir à son mari sa fente béante. Il vint entre ses cuisses, prit appui sur ses bras tendus, et sans même guider son dard, le plongea d’un seul coup dans l’abricot de sa femme. Il s’enfonça jusqu’à ce que ses couilles butent contre les fesses de Marie, et il se mit à la baiser avec une véritable rage, comme s’il voulait rattraper le temps perdu. Après la précipitation de ce premier assaut, il ralentit le mouvement, pour faire durer le plaisir. Il se mit à aller et venir, tantôt lentement, tantôt très vite, jouant, à certains moments, à faire juste coulisser son gland au ...
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