De chaudes études - 4 - Histoires de Sexe

De chaudes études - 4

... j’aime les filles : on peut prendre notre pied de multiples façons, sans que cela implique automatiquement stupre et concupiscence ! Enfin calmées, nous nous asseyons toutes les trois en tailleur sur le lit. Helen a même accepté de préparer le petit-déjeuner, et nous grignotons donc quelques céréales et du lait en bavardant. — Mais au fait, remarque Helen, vous aviez pas cours, vous, ce matin ?— Ah chi ! dis-je en manquant de m’étouffer avec mes corn-flakes. Mais ch’est un peu mort maintenant pour – glop – y aller, non ?— Carrément, approuve Myriam. En même temps, c’était un cours magistral d’ingénierie numérique… Vu comme on avait suivi l’autre fois, il y a pas mort d’homme.— Ah ouais, dit comme ça… Mais, et toi, Helen, pas cours non plus ? fais-je remarquer.— Non, c’est le jeudi matin, mon moment de relâche dans la semaine. Et ça fait franchement du bien. Surtout… ajoute-t-elle, une lueur lubrique et féroce dans les yeux, quand la soirée se passe comme hier !— Mais tu n’arrêtes jamais ? s’étonne Myriam.— Jamais, soupiré-je. Et encore, là, on l’a assez épuisée. Sinon tu peux être sûre qu’elle t’aurait déjà sauté dessus !— Eh ben, fait Myriam, t’as un vrai comportement de…— Femme ? propose Helen.— Nympho ? dis-je pour ma part.— Adulte voulant jouir de la vie ?— Chaudasse ?— Mammifère consciente de sa nature, de ses instincts et de ses charmes ?— Pute ?— … mec, termine soudain Myriam lorsqu’Helen et moi nous sommes enfin calmées. Une telle soif de sexe, constante et tout, ...

... j’avais vu ça que chez les mecs. Helen foudroie ma toute belle du regard. Oh, qu’ils sont noirs, ces yeux ! — Je suis PAS un mec, nom de Dieu ! Je t’interdis de dire ça !— Pardon, bredouille Myriam, je voulais pas dire que…— Enfant, dis-je doucement à Myriam pour lui expliquer la situation, Helen se faisait souvent traiter de garçon manqué, à cause de sa façon d’être et de s’habiller. Et, lorsque sa poitrine a commencé à pousser et que plus aucun doute n’était permis quant à son sexe, eh bien… elle est passée de garçon manqué à nymphomane fière de l’être !— Mais comment tu parles de moi, s’exclame Helen, d’où tu lui racontes ce que je t’ai dit sur moi ? Et d’abord, c’est pas vrai tout ça. La preuve, c’est que je suis comme ça qu’avec les filles. Avec les mecs, c’est moi qui contrôle tout.— En même temps, pouffe Myriam, un mec, c’est quand même très facile à contrôler !— Et moi qui te prenais pour une innocente oie blanche… Quelle aveugle j’étais !— Ah ça, tu l’as dit, fais-je en me servant un verre de jus de fruits.— Oh, tu peux parler, me nargue Helen, c’est moi qui t’ai tout appris sur le sujet ! Le véritable pouvoir féminin, qui donc te l’a enseigné ?— Mais je rends à César ce qui lui appartient, souris-je à mon instructrice. Bien sûr que c’est toi qui m’a ouvert les yeux sur la façon dont on pouvait mener les mecs par le bout du nez…— Ou d’autre chose ! rit Helen, toujours grivoise.— … mais moi, j’arrive à maîtriser un minimum mes pulsions !— Genre, maugrée la brune ...