1. De chaudes études - 4


    Datte: 26/06/2020, Catégories: fhh, grp, jeunes, nympho, grossexe, école, entreseins, facial, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... appartenant à Helen et qui peut se porter sans soutien mammaire, ce qui a pour effet de ravir ma compagne de chambrée, ainsi que moi-même, je dois dire. Helen, elle, choisit de faire une entorse à la règle sacrée de la jupe, en jetant son dévolu sur un petit short s’arrêtant à mi-cuisse et un débardeur blanc. Enfin, pour ma part, je rejoue la carte de la robe avec un modèle vert pâle assorti à mes yeux. Et pour les dessous, je choisis un ensemble simple et sobre, comme l’avait fait hier Myriam. Enfin apprêtées, nous nous maquillons mutuellement, préférant pour ma part confier mon visage à ma toute belle plutôt qu’à Helen, dont je connais la passion pour les maquillages un peu trop outranciers à mon goût. Je renonce d’ailleurs vite à m’occuper d’elle, excédée par ses remarques incessantes. De même, je n’essaie même pas de toucher à ses cheveux, connaissant sa maniaquerie en la matière ; mais sur ce point, je ne peux pas lui en vouloir, je suis exactement pareille, personne ne touche à mes boucles blondes ! Par contre, Myriam me laisse sans problème m’occuper de sa magnifique chevelure châtain, et je promène mes mains et ma brosse parmi ses belles boucles bien dessinées, reniflant au passage leur douce odeur. Je pourrais y passer des heures, mais nous voilà toutes trois fin prêtes et, quand il faut y aller, faut y aller ! Quelles idiotes ! Quand nous sommes sorties de la résidence sur le campus, le ciel était gris, mais rien ne menaçait réellement. Mais, alors que nous ...
    ... arrivions en vue des terrains de sport, un brusque coup de tonnerre a fait trembler tout le campus. Et on a à peine eu le temps de lever le nez que des gouttes commencèrent à tomber, nous forçant à courir à l’abri des vestiaires. Par chance, aucune de nous n’a commis la bêtise de mettre des talons ; nous avons donc pu nous abriter assez vite. Par contre, aucune n’a eu non plus la présence d’esprit de prendre un parapluie… c’est moi qui, la première, essaie de faire passer ma voix par-dessus les gouttes : — Bon… on fait comment maintenant ?— Je sais pas… murmure Myriam, à la limite de l’inaudible. On a bien nos sacs pour se protéger la tête, mais on va se geler !— En attendant, lance Helen, les vestiaires des pom-pom girls sont à au moins deux cents mètres… va falloir se bouger les fesses pour passer entre les gouttes ! Aucune de nous n’est vraiment enthousiaste à cette idée… mais a-t-on vraiment le choix ? Passant nos sacs au-dessus de nos épaules pour nous protéger le mieux possible de la pluie maintenant torrentielle, nous courons comme des dératées sur toute la distance qui nous sépare des vestiaires. On arrive là-bas trempées ; la robe de Myriam se plaque délicieusement sur ses formes, et je ne peux détacher mon regard du tissu collé à ses seins nus, ses petits tétons pointant sous la robe à présent presque transparente. Mais comme il faut bien que chaque moment de grâce soit gâché par quelqu’un, c’est Helen qui s’y colle, pour une fois sans faire de remarque graveleuse : — Eh, ...
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