Moi... tout simplement ! (2)
Datte: 04/10/2017,
Catégories:
Erotique,
Un lieu de perdition ! Une queue de cheval, un sourire avenant, il engage la conversation comme si nous étions des amis de longue date. Nous réglons une modeste somme de vingt euros et nous faisons ensuite le tour des lieux. Le rez-de-chaussée est composé de l’entrée, à la gauche de laquelle un escalier mène à l’étage. Un couloir longe les escaliers et des douches sont installées au fond de ce corridor. Encore à la gauche de ces douches un grand « Spa » trône, absolument vide. En revenant dans l’entrée, face à celle-ci, une salle légèrement allumée recèle un téléviseur qui laisse entrevoir un film extrêmement suggestif et les canapés qui tapissent les murs de cet endroit me laissent imaginer combien cet endroit, vide pour l’instant, doit être occupé par de tendres ébats. Au fond, nous apercevons dans la pénombre, un lit à deux étages et sur un pan de mur, une croix de laquelle pendent des chaines et des bracelets solides, pour entraver poignets et chevilles. Dans la même salle, il pousse une porte noire et derrière celle-ci nous découvrons une petite chambre borgne, dont tout l’espace est pratiquement occupé par un matelas de cuir noir, directement posé sur le sol. En sortant de ce lieu qui me fait autant rêver qu’il me donne la chair de poule, nous trouvons un passage sur notre gauche : celui-là mène au hammam et de loin j’aperçois des serviettes blanches qui prouvent que l’endroit est occupé. En nous tenant par la main, nous empruntons les escaliers. Ils débouchent sur ...
... une vaste salle, elle aussi truffée de canapés de peau noire, installés de manière à avoir de petits coins plus ou moins intimes. Devant chaque canapé une petite table sur laquelle une bougie est allumée ou non en fonction de l’occupation ou non du sofa. Dans le fond très en lumière, un immense bar fait toute la largeur de la salle et quelques-uns des tabourets hauts qui s’y trouvent sont occupés par des hommes seuls. Trois ou quatre y font tapisserie à notre arrivée. La salle est grande, mais pas immense, entrecoupée de piliers qui sont autant de petites tablettes, accueillants les verres de consommateurs occasionnels. De la musique est diffusée dans cette salle, un parquet dans un angle semble être la piste de danse, laquelle se termine par une cage faite barreaux dorés, ou de temps à autre une femme doit pouvoir faire une danse lascive ou un strip-tease. Nous prenons place dans un petit coin, un peu à l’écart et nous voyons que sur le côté droit deux portes sont là. La serveuse, mignonne petite femme, avec un corps sculptural vient allumer la bougie sur notre table, signe d’occupation du sofa et elle prend notre commande de boisson. Il demande une Vodka orange, et je prends un coca-cola, l’alcool n’est pas trop mon fort. C’est rapide, efficace, les breuvages arrivent de suite. Dans la salle, deux couples sont là et quelques hommes seuls. Les regards de ceux-ci sont dirigés sur la flamme de notre bougie me dit-il en riant. Deux d’entre eux du reste, prennent leur verre et du ...