1. Découverte du plaisir avec ma mère (8)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Après avoir regardé partir dans le ciel l’avion emportant Marie au loin, Thomas revient vers la maison familiale. Il ne peut pas s’empêcher de repenser au séjour de Marie, par séquences aléatoires. Il reconnaît avoir un sentiment amoureux envers elle. Une tristesse s’abat peu à peu sur ses épaules. En même temps il prend conscience du dilemme entre Aurélie, Marie et lui. Malgré l’optimisme d’Aurélie, il ne voit pas comment tout cela pourra finir en apothéose. Une fois à la maison sa tristesse induite en lui, il voit Aurélie qui s’affaire dans toute la maison, avec une grande dépense d’énergie. — Mais que fais-tu ? Il n’y a pas urgence de tout ranger dans la maison. Questionnais-je — Oui je sais, mais je m’occupe sinon je vais finir en pleurs. Marie me manque déjà. Un vide s’installe dans la maison. Répond-elle. — Oui, je le ressens aussi, autant lorsqu’elle partit il y a treize mois nous fûmes heureux de pouvoir vivre sans sa présence, aujourd’hui redevenue notre Marie d’antan, et mon amante, un vide se propage seulement après quelques heures de son départ. Remarquais-je — Oui, j’aime Marie, tu le sais. Ce que tu dis est exact, aujourd’hui bien qu’elle soit ta maîtresse, je ne peux que pleurer son absence tellement elle me manque. S’épanche-t-elle — Ces neuf mois vont être longs. Répliquais-je. Aurélie continue ses domesticités acharnées. Quant à moi je me suis réfugié dans ma chambre avec un livre, mais je ne peux me concentrer sur la lecture. J’abandonne celle-ci et me ...
    ... laisse aller dans mes diaporamas de la vision de Marie, pendant son court séjour, allongé sur mon lit. La soirée arrive, Aurélie nous a fait un dîner léger. Nous mangeons quasiment en silence. On regarde ensuite la télévision dans le salon. On zappe beaucoup, rien ne nous intéresse. Finalement on décide d’aller se coucher. Instinctivement, on se dirige dans la chambre d’Aurélie, celle-ci se déshabille en silence, je regarde la découverte de son corps magnifique, mais ne tente rien, ni en parole ni en geste. Elle va dans la salle de bains prendre une douche et s’apprêter pour la nuit cela prendra un certain temps. Je n’éprouve pas le besoin d’aller taquiner Aurélie, comme d’habitude. Aussi je me dévêts et file dans la salle de bains de ma chambre. Je reviens dans la pièce d’Aurélie, elle n’a pas encore terminé. Je me glisse sous la couette, tout nu comme à l’accoutumée, et attends la venue de mon amour. Elle arrive, la tête ailleurs, je le ressens fortement. Elle vint se mettre sous la couette, en silence, elle aussi nue, comme d’habitude. Elle prend sa position en fœtus et vient se blottir contre moi, je me mis sur le flanc pour qu’elle puisse bien se blottir contre moi. — Mon chéri, éteins la lumière. Je n’ai pas envie de batifoler ce soir. Me dit-elle. — Je suis dans le même cas, mon amour, déclarais-je. — Bonne nuit mon chéri. — A toi aussi mon amour. Ainsi se passa cette nuit-là. Le matin, la première chose que l’on fait, est de se précipiter vers nos téléphones pour voir si ...
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