1. Estelle


    Datte: 27/06/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio,

    ... toi qui le portes. Qu’est ce que je venais de sortir ? Faut que j’arrête le Martini quand j’ai une invitée. Si elle le répètait, ça irait faire des rumeurs au boulot. Quel con. — C’est gentil, ça. Tu le penses vraiment ? Pas du tout choquée, elle me demandait ça le plus naturellement du monde, avec un sourire éclatant. — Oui, oui, sincèrement.— Je n’en attendais pas moins de mon collègue préféré. Elle rit un bon coup et vint s’asseoir à côté de moi. Elle avala d’un coup son Martini. — Là, je suis vraiment à l’aise, comme chez moi.— J’en suis ravi, je devrais t’inviter plus souvent.— Pour me voir en sous-vêtements ou m’espionner sous la douche ?— Comment ?— Je t’ai vu dans le miroir, gros bêta !— …— Ne t’inquiète pas, je ne t’en veux pas.— Merci.— Et puis ce n’est pas la première fois, tu me regardes souvent au bureau. J’aime bien, ça veut dire que je suis désirable. Me trouves-tu désirable ? Elle était à vingt centimètres de moi, en lingerie fine très sexy. Comment résister ? — Oui, je te trouve très belle !— À quel point ?— Comment ça ?— Tu as envie de moi ?— Je suis bien avec Claire.— Là n’est pas la question. Disons, dans l’absolu ?— Là, oui. J’étais terriblement gêné. Impossible de savoir si elle jouait avec mes nerfs ou si le Martini lui montait à la tête. Peut être les deux. — Eh bien, disons que nous sommes dans l’absolu, alors. Elle fit vagabonder un doigt sur ma cuisse, puis le remonta pour me caresser le visage. — J’ai toujours aimé ton côté gros balaise rugbyman ...
    ... qui rougit quand on le cherche un peu. Je trouve ça trop mignon.— Merci, c’est sympa.— Alors comme je te trouve mignon, et que toi, tu as envie de moi, on devrait s’entendre, non ? Elle me caressait maintenant l’intérieur de la cuisse, remontant vers mon sexe. — Tu sais, je ne sais pas si c’est une bonne idée.— Ce n’est pas ce que me dit ton sexe. Je devais bien constater que j’avais une érection du tonnerre et sa main était justement en train de la caresser à travers le jean’s. — Non, mais écoute, Estelle…— Tais-toi. Elle passa sa deuxième main derrière ma tête et m’attira à elle pour m’embrasser. Je lui rendis son baiser. Impossible d’y résister. Elle continuait à me caresser l’entrejambe, je faisais partir mes mains à la découverte de son dos et de ses fesses. Je caressais les petits tissus délicats qui la recouvraient. Sa peau était douce, elle sentait le savon. Je l’embrassai dans le cou et descendis vers sa poitrine, elle fit sauter l’agrafe de son soutien-gorge. Lorsqu’elle le retira, ses seins changèrent à peine de forme, et dire qu’ils étaient vrais, la perfection mammaire. Je les caressai, les soupesai, les embrassai, elle me regardait avec un sourire bienveillant. Je m’en pris à ses tétons, les faisant durcir en les aspirant, les léchant tendrement, tétant parfois comme un bébé. Elle soupirait d’aise, me caressant les cheveux et appuyant mon visage contre sa poitrine. Elle se mit à genoux face à moi et entreprit de me délester de mon jean’s. Je l’aidai en soulevant ...
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