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Amélie... Une fieffée coquine.
Datte: 27/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... déjà parlé à plusieurs reprises ! Nous voulions faire l’amour en avion. Notre voyage en République dominicaine allait peut-être nous permettre de réaliser ce fantasme. A l’aller, cela nous a paru difficile car c’était un vol de jour. S’isoler dans les toilettes de l’avion alors que la plupart des passagers était éveillée et le personnel de cabine très présent nous a fait renoncer. Mais au retour, le vol de nuit nous a semblé plus propice. Nous volons depuis déjà une bonne heure et le léger diner servi par le personnel est terminé. Le ronronnement des réacteurs commence à bercer les passagers mais la climatisation de la cabine trop fraiche à notre gout nous fait demander une couverture à l’hôtesse. C’est vrai aussi que Tristan et moi, nous ne portons que des vêtements légers, chemisette et bermuda pour lui et pour moi, un sweet-shirt à manche courtes et une jupe en coton arrivant à mi cuisses. Nous avons dans notre bagage à main de quoi nous couvrir pour l’arrivée aux petites heures de la matinée. A l’embarquement, nous avons eu la chance d’obtenir deux sièges côté hublots. Nous nous sommes couverts pour échapper à la fraicheur de la climatisation de la cabine et nous avons incliné nos sièges au maximum. J’ai appuyé ma tête sur l’épaule de Tristan et j’ai commencé à somnoler. Mais bientôt, je sens la main de mon copain glisser sur mon ventre puis entre mes cuisses et remonter ma minijupe et se poser sur mon mont de Vénus : - Amélie, je crois que çà va être le moment propice ...
... ! - Quoi ? Qu’y a-t’il ? - Je vais aller aux toilettes de l’arrière, rejoins moi dans quelques minutes ! La cabine est plongée dans la pénombre. Seules les bandes de plots lumineux jalonnant les allées et les passages donnent une lumière verdâtre. Bastian se lève et se dirige vers l’arrière. Deux minutes après je le suis. Arrivée à la hauteur des toilettes, je peux voir que les rideaux séparant la cabine « touristes » en deux parties sont tirés. Génial, personne ne va me voir entrer dans une cabine déjà occupée... Quelques coups discrets frappés sur la battant de porte et Tristan me fait entrer avec lui dans le réduit exigu des toilettes. Il m’enlace aussitôt, plaquant son corps contre le mien et glissant un genou entre mes cuisses qui ne demandent qu’à s’ouvrir. Est-il particulièrement excité par ce que nous avons entrepris, toujours est-il que sa queue que je sens contre moi et ses baisers passionnés achèvent de mettre le feu à ma libido… - Doucement ! Tout le monde dort, on a le temps ! - Oui, je sais mais j’ai envie de te sauter comme une chienne ! Tourne-toi et appuie-toi sur le lavabo. Je comprends immédiatement ce que veut mon homme : me prendre en levrette ! Il a raison, c’est presque la seule position possible dans un tel lieu aussi étroit. Je me place comme il le souhaite, face au miroir qui surplombe le petit lavabo. Il remonte le bas de ma jupe pour le coincer dans la ceinture puis il plaque ses mains puissantes sur mes fesses pour ouvrir la fente. Là, il a la ...